10-04-2018

Notes et réflexions chez « Le Capital-I » (Karl Marx) et chez « État et révolution » (Lénine) …. sur capitalisme, révolution, socialisme et communisme

REMARQUE : Je vais faire quelques articles avec mes notes d’étude et mes réflexions sur une lecture/étude de livres de (surtout) Marx et Lénine. Je ne veux pas prétendre que mes positions sont tout a fait correctes… Une raison en plus pour dire que rien ne peut remplacer l’étude personnelle de ces (et autres ) livres …. Je « cite » seulement quelques passages pour des raisons « illustratives ».
Mes notes en "État et révolution"(Lénine)
Choisir des citations pour « démontrer » des thèses avancées ….. c’est du DOGMATISME. Mes « notes et réflexions » ont une certaine valeur parce que ils sont le résultat d’une cherche des arguments, pour les utliliser dans les discussion ( comme communiste-travalleur) avec des collègues-travailleurs ou dans l’utilisation dans le formation que je préparait pour la cellule de laquelle j’étais responsable ou pour les cycles de candidats(-membres) des lesquelles j’étais responsable.

Première section, première chapitre du première livre de « Le Capital »,…. par Karl Marx

I. — Les deux facteurs de la marchandise : valeur d'usage et valeur d'échange ou valeur proprement dite. (Substance de la valeur, Grandeur de la valeur.)
La richesse des sociétés dans lesquelles règne le mode de production capitaliste s'annonce comme une « immense accumulation de marchandises1». L'analyse de la marchandise, forme élémentaire de cette richesse, sera par conséquent le point de départ de nos recherches.
La marchandise est d'abord un objet extérieur, une chose qui par ses propriétés satisfait des besoins humains de n'importe quelle espèce. Que ces besoins aient pour origine l'estomac ou la fantaisie, leur nature ne change rien à l’affaire2. Il ne s'agit pas non plus ici de savoir comment ces besoins sont satisfaits, soit immédiatement, si l'objet est un moyen de subsistance, soit par une voie détournée, si c'est un moyen de production.
(...)3

Une bonne exemple, je crois, c'est une maison. Une maison comme marchandise, satisfaisant le besoin de habitation est lui-même une « accumulation » des marchandises : des bricks, des fenêtres , des portes, des meubles, comme des tables et chaises et armoires. Dans les armoires il y a une « accumulation » des marchandises : des vêtements ou nourritures ou de livres, des casseroles, des plates, ……. Une maison pour être une maison, "accumule" des marchandises comme files électriques, des lavabos, des pipes de conduction de l’eau, de l’énergie,… de lignes de communication…
Pas encore ici, mais plus loin dans la texte de Marx il dit (d’après moi) que « une chose » devient « une marchandise » quand il est utilisé pour être vendue et par conséquence à être acheté…..Acheté par un « consommateur avec une revenue 4» pour satisfaire « subjectivement 5» un certain besoin.

L'utilité d'une chose fait de cette chose une valeur d'usage6. Mais cette utilité n'a rien de vague et d'indécis. Déterminée par les propriétés du corps de la marchandise, elle n'existe point sans lui. Ce corps lui-même, tel que fer, froment, diamant, etc., est conséquemment une valeur d'usage, et ce n'est pas le plus ou moins de travail qu'il faut à l'homme pour s'approprier les qualités utiles qui lui donne ce caractère. Quand il est question de valeurs d'usage, on sous-entend toujours une quantité déterminée, comme une douzaine de montres, un mètre de toile, une tonne de fer, etc. Les valeurs d'usage des marchandises fournissent le fonds d'un savoir particulier, de la science et de la routine commerciales7.
Les valeurs d'usage ne se réalisent que dans l'usage ou la consommation. Elles forment la matière de la richesse, quelle que soit la forme sociale de cette richesse. Dans la société que nous avons à examiner, elles sont en même temps les soutiens matériels de la valeur d'échange.8


En fait, les choses produit spécifiquement (ou uniquement) pour s’en utiliser ne sont pas encore des marchandises…..
Des « choses » deviennent « des marchandises’ quand ils sont vendu … et acheté ( « échangé »)

La valeur d'échange apparaît d'abord comme le rapport quantitatif, comme la proportion dans laquelle des valeurs d'usage d'espèce différente s'échangent l'une contre l’autre9, rapport qui change constamment avec le temps et le lieu. La valeur d'échange semble donc quelque chose d'arbitraire et de purement relatif ; une valeur d'échange intrinsèque, immanente à la marchandise, paraît être, comme dit l'école, une contradictio in adjecto10. Considérons la chose de plus près.
Une marchandise particulière, un quarteron de froment, par exemple, s'échange dans les proportions les plus diverses avec d'autres articles. Cependant, sa valeur d'échange reste immuable, de quelque manière qu'on l'exprime, en x cirage, y soie, z or, et ainsi de suite. Elle doit donc avoir un contenu distinct de ces expressions diverses.
Prenons encore deux marchandises, soit du froment et du fer. Quel que soit leur rapport d'échange, il peut toujours être représenté par une équation dans laquelle une quantité donnée de froment est réputée égale à une quantité quelconque de fer, par exemple : 1 quarteron de froment = a kilogramme de fer. Que signifie cette équation ? C'est que dans deux objets différents, dans 1 quarteron de froment et dans a kilogramme de fer, il existe quelque chose de commun. Les deux objets sont donc égaux à un troisième qui, par lui-même, n'est ni l'un ni l'autre. Chacun des deux doit, en tant que valeur d'échange, être réductible au troisième, indépendamment de l'autre.
(...)
(I)l est évident que l'on fait abstraction de la valeur d'usage des marchandises quand on les échange et que tout rapport d'échange est même caractérisé par cette abstraction. Dans l'échange, une valeur d'utilité vaut précisément autant que toute autre, pourvu qu'elle se trouve en proportion convenable. Ou bien, comme dit le vieux Barbon :
« Une espèce de marchandise est aussi bonne qu'une autre quand sa valeur d'échange est égale ; il n'y a aucune différence, aucune distinction dans les choses chez lesquelles cette valeur est la même11. »
Comme valeurs d'usage, les marchandises sont avant tout de qualité différente ; comme valeurs d'échange, elles ne peuvent être que de différente quantité.12

Les marchandises ont en commun qu’ils ont tous une « certaine » valeur d’échanges, et peut être « comparés  (quantitativement)» par leur hauteur de leur valeur d’échange.
Et puis…..

La valeur d'usage des marchandises une fois mise de côté, il ne leur reste plus qu'une qualité, celle d'être des produits du travail. (...)
Si nous faisons abstraction de sa valeur d'usage, tous les éléments matériels et formels qui lui donnaient cette valeur disparaissent à la fois. Ce n'est plus, par exemple, une table, ou une maison, ou du fil, ou un objet utile quelconque ; ce n'est pas non plus le produit du travail du tourneur, du maçon, de n'importe quel travail productif déterminé. Avec les caractères utiles particuliers des produits du travail disparaissent en même temps, et le caractère utile des travaux qui y sont contenus, et les formes concrètes diverses qui distinguent une espèce de travail d'une autre espèce. Il ne reste donc plus que le caractère commun de ces travaux ; ils sont tous ramenés au même travail humain, à une dépense de force humaine de travail sans égard à la forme particulière sous laquelle cette force a été dépensée.
(...) (T)ous ces objets ne manifestent plus qu'une chose, c'est que dans leur production une force de travail humaine a été dépensée, que du travail humain y est accumulé. En tant que cristaux de cette substance sociale commune, ils sont réputés valeurs.
Le quelque chose de commun qui se montre dans le rapport d'échange ou dans la valeur d'échange des marchandises est par conséquent leur valeur ; et une valeur d'usage, ou un article quelconque, n'a une valeur qu'autant que du travail humain est matérialisé en elle.(...)13

Une fois définit, Karl Marx utilise le terme « valeur » pour en fait dire « valeur d’échange ». dans tous ses analyses …..

(L)e travail qui forme la substance de la valeur des marchandises est du travail égal et indistinct une dépense de la même force. La force de travail de la société tout entière, laquelle se manifeste dans l'ensemble des valeurs, ne compte par conséquent que comme force unique, bien qu'elle se compose de forces individuelles innombrables. Chaque force de travail individuelle est égale à toute autre, en tant qu'elle possède le caractère d'une force sociale moyenne et fonctionne comme telle, c'est-à-dire n'emploie dans la production d'une marchandise que le temps de travail nécessaire en moyenne ou le temps de travail nécessaire socialement.
Le temps socialement nécessaire à la production des marchandises est celui qu'exige tout travail, exécuté avec le degré moyen d'habileté et d'intensité et dans des conditions qui, par rapport au milieu social donné, sont normales. (...)
C'est donc seulement le quantum de travail, ou le temps de travail nécessaire, dans une société donnée, à la production d'un article qui en détermine la quantité de valeur14. Chaque marchandise particulière compte en général comme un exemplaire moyen de son espèce15. Les marchandises dans lesquelles sont contenues d'égales quantités de travail, ou qui peuvent être produites dans le même temps, ont, par conséquent, une valeur égale. La valeur d'une marchandise est à la valeur de toute autre marchandise, dans le même rapport que le temps de travail nécessaire à la production de l'une est au temps de travail nécessaire à la production de l'autre.
La quantité de valeur d'une marchandise resterait évidemment constante si le temps nécessaire à sa production restait aussi constant. Mais ce denier varie avec chaque modification de la force productive du travail, qui, de son côté, dépend de circonstances diverses, entre autres de l'habileté moyenne des travailleurs ; du développement de la science et du degré de son application technologique des combinaisons sociales de la production ; de l’étendue et de l'efficacité des moyens de produire et des conditions purement naturelles. (….)
Nous connaissons maintenant la substance de la valeur : c'est le travail. Nous connaissons la mesure de sa quantité : c'est la durée du travail.
Une chose peut être une valeur d'usage sans être une valeur. Il suffit pour cela qu'elle soit utile à l'homme sans qu'elle provienne de son travail. Tels sont l'air des prairies naturelles, un sol vierge, etc. Une chose peut être utile et produit du travail humain, sans être marchandise. Quiconque, par son produit, satisfait ses propres besoins ne crée qu'une valeur d'usage personnelle. Pour produire des marchandises, il doit non seulement produire des valeurs d'usage, mais des valeurs d'usage pour d'autres, des valeurs d'usage sociales16. (…)17

Notes et réflexions …….

Dans une société ou chacun fait des produits pour usage personels utilisant des « choses » qu’il peut « trouver » librement, ces produits ne sont pas des marchandises. Naturellement «les instruments» pour faire ces produits, … sont eux-mêmes aussi ‘réalisés' avec des "choses" trouvés librement..... ne sont donc non plus des marchandises.
Quand cet société se dévelope, …. une «surplus» des produits sont faits … pour être échangés contre autre produits (utile pour une autre besoin)….. l´économie des marchandise «entre» dans cet société……
Dans la société capitaliste, TOUS les produits sont produits pour leur valeurs d’échange. Même le «besoin» pour laquelle une produit est soi-disant produit (donc une sois-disant "valeur d’usage") est lié a la valeur d’échange, parce-qu’on peut seulement satisfaire ce besoin quand on est capable d’ACHETER cet produit …. donc capable de PAYER son valeur d’échange.
Le capitalisme est la plus haute forme d’économie de marchandises.
Le communisme n’est plus une économie de marchandises. Les produits sont produits (et sont concu ) pour satisfaire des besoins. Les produits sont mis en disposition pour être utilisé. Acheter une produit pour payer en fait pour son travail incorporé n’est plus la cause parce que tout le monde a déjà, par son contribution de travail dans la société, « payé »....
Donc alors "Acheter/vendre des marchandises" cesse d’exister. La notion « valeur d’échange » cesse d’avoir du contenu et devient une concept inutile.

L’ essentiel de la difference entre capitalisme et communisme et la révolution prolétarien ( … souvent nommé «socialiste », terme encore a expliquer): « De la production des valeurs d’échange a la production des valeur d’usage»

La mode de production capitaliste est la forme la plus élevée de l'économie marchande: la production de produits en raison de leur valeur d’ÉCHANGE. La vente du produit pour sa valeur d’ÉCHANGE donne la PLUS-VALUE - stockée dans cette valeur d'échange. Cette «plus-value» est la partie du travail qui a été livrée (avec laquelle la valeur d’échange a été «produite») qui N’EST PAS ÉTÉ «payée» comme SALAIRE. Parce que le travailleur (historiquement) en tant que producteur est "exproprié" de ses moyens de production, et que le capitaliste s'est approprié, les produits sont d'abord aussi possédés par le capitaliste. De cette façon, le capitaliste peut également s'approprier la plus-value à travers la vente des produits (pour leurs valeurs d’échange). Le travailleur ne peut se fournir un revenu qu’en vendant sa force de travail (en forme de salaire). Cette force de travail, le capitaliste comme un acheteur du force de travail, le peut utiliser pour la production des marchandises qui fournit plus de valeur d’échange que ce qui est payé comme salaire. Cette partie de la valeur d'échange ( en fait travail NON PAYÉ) est la PLUS-VALUE. Le travailleur (en tant que consommateur) a besoin pour ses besoins (nourriture, vêtements, logement, soins, ....) d’acheter des produits, ou « marchandises » (cels qui sont « promus » par le mode de production capitaliste comme nécessaire pour couvrir « les besoins »respectives) ... et donc payer la valeur d'échange. Avec l'argent reçu comme valeur d'échange le capitaliste « reçoit » en même temps le plus-value. Le « revenu » du capitaliste est composé du plus-value « recue » par l'exploitation du travail, en forme d’argent. Quand le capitaliste utilise cet argent pour étendre la production d’une manière ou autre, cet argent devient ….capitale.
La valeur d’échange d’une marchandise est donce exprimé en forme d’argent.

La mode de production communiste signifie: la production de produits "en fonction" de leur valeur d'USAGE. Les produits sont «conçus» et la méthode de production est entièrement axée sur la couverture d'un BESOIN défini. Étant donné que la société tout entière participe à la « détermination » (du)des BESOIN(S), « la conception » du produit nécessaire, le développement de la production du produit dans lequel tout le monde « a son possibilité » s’engage dans la production, les produits sont « tous fournis en fonction du besoin existant. « Valeur d'échange », « plus-value », «salaires», « coûts de production » et « la concurrence » (ou « compétition économique ») cessera d'être des termes avec contenu. La recherche des plus bas coûts de production possibles (y compris coût des matières premières), entre autre les raisons de l'épuisement des ressources, et ainsi « au bon marché que possible » de l'exploitation minière ou la récolte des matières premières (par le pillage, le pillage, le colonialisme .... et par « supprimer» « durabilité » et de « l'environnement « comme les coûts et par incorporer DANS le produit une « vie courte », ne sera plus nécessaire. La durabilité, le recyclage, seront des éléments connectés à la « conception d’un produit » et au développement de la méthode de production. Les matières premières, les moyens de production, ... seront «possédés» et «gérés» par la communauté.

Mais les communistes parle toujours de révolution SOCIALISTE qui renverse le capitalisme et installe le SOCIALISME ( ou économie de plan socialiste)? En « État et Révolution » de Lénine on trouve la réponse a cette question.



20. LA TRANSITION DU CAPITALISME AU COMMUNISME

"Entre la société capitaliste et la société communiste, poursuit Marx, se place la période de transformation révolutionnaire de celle-là en celle-ci. À quoi correspond une période de transition politique où l'État ne saurait être autre chose que la dictature révolutionnaire du prolétariat."
Cette conclusion repose, chez Marx, sur l'analyse du rôle que joue le prolétariat dans la société capitaliste actuelle, sur les données relatives au développement de cette société et à l'inconciliabilité des intérêts opposés du prolétariat et de la bourgeoisie.
Autrefois, la question se posait ainsi : le prolétariat doit, pour obtenir son affranchissement, renverser la bourgeoisie, conquérir le pouvoir politique, établir sa dictature révolutionnaire.
Maintenant, la question se pose un peu autrement : le passage de la société capitaliste, qui évolue vers le communisme, à la société communiste est impossible sans une "période de transition politique" ; et l'État de cette période ne peut être que la dictature révolutionnaire du prolétariat. (...)
Or, la dictature du prolétariat, c'est-à-dire l'organisation de l'avant-garde des opprimés en classe dominante pour mater les oppresseurs, ne peut se borner à un simple élargissement de la démocratie. En même temps qu'un élargissement considérable de la démocratie, devenue pour la première fois démocratie pour les pauvres, démocratie pour le peuple et non pour les riches, la dictature du prolétariat apporte une série de restrictions à la liberté pour les oppresseurs, les exploiteurs, les capitalistes. Ceux-là, nous devons les mater afin de libérer l'humanité de l'esclavage salarié ; il faut briser leur résistance par la force ; et il est évident que, là où il y a répression, il y a violence, il n'y a pas de liberté, il n'y a pas de démocratie. (...)
C'est seulement dans la société communiste, lorsque la résistance des capitalistes est définitivement brisée, que les capitalistes ont disparu et qu'il n'y a plus de classes (c'est-à-dire plus de distinctions entre les membres de la société quant à leurs rapports avec les moyens sociaux de production), c'est alors seulement que "l'État cesse d'exister et qu'il devient possible de parler de liberté". Alors seulement deviendra possible et sera appliquée une démocratie vraiment complète, vraiment sans aucune exception. Alors seulement la démocratie commencera à s'éteindre pour cette simple raison que, délivrés de l'esclavage capitaliste, des horreurs, des sauvageries, des absurdités, des ignominies sans nombre de l'exploitation capitaliste, les hommes s'habitueront graduellement à respecter les règles élémentaires de la vie en société connues depuis des siècles, rebattues durant des millénaires dans toutes les prescriptions morales, à les respecter sans violence, sans contrainte, sans soumission, sans cet appareil spécial de coercition qui a nom : l'État. (...)
En d'autres termes : nous avons, en régime capitaliste, l'État au sens propre du mot, une machine spéciale d'oppression d'une classe par une autre, de la majorité par la minorité. On conçoit que pour être menée à bien, la répression systématique exercée contre une majorité d'exploités par une minorité d'exploiteurs exige une cruauté, une férocité extrême dans la répression, des mers de sang à travers lesquelles l'humanité poursuit sa route sous le régime de l'esclavage, du servage et du salariat.
Ensuite, dans la période de transition du capitalisme au communisme, la répression est encore nécessaire, mais elle est déjà exercée sur une minorité d'exploiteurs par une majorité d'exploités. L'appareil spécial, la machine spéciale de répression, l'"État", est encore nécessaire, mais c'est déjà un État transitoire, ce n'est plus l'État proprement dit, car la répression exercée sur une minorité d'exploiteurs par la majorité des esclaves salariés d'hier est chose relativement si facile, si simple et si naturelle qu'elle coûtera beaucoup moins de sang que la répression des révoltes d'esclaves, de serfs et d'ouvriers salariés, qu'elle coûtera beaucoup moins cher à l'humanité. Elle est compatible avec l'extension de la démocratie à une si grande majorité de la population que la nécessité d'une machine spéciale de répression commence à disparaître. Les exploiteurs ne sont naturellement pas en mesure de mater le peuple sans une machine très compliquée, destinée à remplir cette tâche; tandis que le peuple peut mater les exploiteurs même avec une "machine" très simple, presque sans "machine", sans appareil spécial, par la simple organisation des masses armées (comme, dirons-nous par anticipation, les Soviets des députés ouvriers et soldats).
Enfin, seul le communisme rend l'État absolument superflu, car il n'y a alors personne à mater, "personne" dans le sens d'aucune classe ; il n'y a plus lutte systématique contre une partie déterminée de la population. Nous ne sommes pas des utopistes et nous ne nions pas du tout que des excès individuels soient possibles et inévitables ; nous ne nions pas davantage qu'il soit nécessaire de réprimer ces excès. Mais, tout d'abord, point n'est besoin pour cela d'une machine spéciale, d'un appareil spécial de répression; le peuple armé se chargera lui-même de cette besogne aussi simplement, aussi facilement qu'une foule quelconque d'hommes civilisés même dans la société actuelle sépare des gens qui se battent ou ne permet pas qu'on rudoie une femme. Ensuite, nous savons que la cause sociale profonde des excès qui constituent une violation des règles de la vie en société, c'est l'exploitation des masses, vouées au besoin, à la misère. Cette principale cause une fois écartée, les excès commenceront infailliblement à "s'éteindre". Avec quelle rapidité et quelle gradation, nous l’ignorons ; mais nous savons qu'ils s'éteindront. Et, avec eux, l'État s'éteindra à son tour.18

21. PREMIÈRE PHASE DE LA SOCIÉTÉ COMMUNISTE

Dans la Critique du programme de Gotha, Marx réfute minutieusement l'idée de Lassalle selon laquelle l'ouvrier, en régime socialiste, recevra le produit "non amputé" ou "le produit intégral de son travail". Il montre que de la totalité du produit social il faut défalquer : un fonds de réserve, un fonds destiné à accroître la production, un fonds destiné au remplacement des machines "usagées", etc. Puis, des objets de consommation, il faut encore défalquer : un fonds pour les frais d'administration, les écoles, les hôpitaux, les hospices de vieillards, etc.
Au lieu de la formule nébuleuse, obscure et générale de Lassalle ("à l'ouvrier le produit intégral de son travail"), Marx établit avec lucidité comment la société socialiste sera tenue de gérer les affaires. Marx entreprend l'analyse concrète des conditions de vie dans une société où le capitalisme n'existera pas, et il s'exprime ainsi :
"Ce à quoi nous avons affaire ici [à l'examen du programme du parti ouvrier], c'est à une société communiste non pas telle qu'elle s'est développée sur les bases qui lui sont propres, mais au contraire telle qu'elle vient de sortir de la société capitaliste; une société par conséquent, qui, sous tous les rapport, économique, moral, intellectuel, porte encore les stigmates de l'ancienne société des flancs de laquelle elle est issue."
C'est cette société communiste qui vient de sortir des flancs du capitalisme et porte dans tous les domaines les stigmates de la vieille société que Marx appelle la phase "première" ou phase inférieure de la société communiste.
Les moyens de production ne sont déjà plus la propriété privée d'individus. Ils appartiennent à la société tout entière. Chaque membre de la société, accomplissant une certaine part du travail socialement nécessaire, reçoit de la société un certificat constatant la quantité de travail qu'il a fournie. Avec ce certificat, il reçoit dans les magasins publics d'objets de consommation une quantité correspondante de produits. Par conséquent, défalcation faite de la quantité de travail versée au fonds social, chaque ouvrier reçoit de la société autant qu'il lui a donné. (...)
Ainsi, dans la première phase de la société communiste (que l'on appelle ordinairement socialisme), le "droit bourgeois" est aboli non pas complètement, mais seulement en partie, seulement dans la mesure où la révolution économique a été faite, c'est-à-dire seulement en ce qui concerne les moyens de production. Le "droit bourgeois" en reconnaît la propriété privée aux individus. Le socialisme en fait une propriété commune. C'est dans cette mesure, mais dans cette mesure seulement, que le "droit bourgeois" se trouve aboli.
Il subsiste cependant dans son autre partie, en qualité de régulateur de la répartition des produits et de la répartition du travail entre les membres de la société. "Qui ne travaille pas ne doit pas manger" : ce principe socialiste est déjà réalisé ; "à quantité égale de travail, quantité égale de produits" : cet autre principe socialiste est déjà réalisé, lui aussi. Pourtant, ce n'est pas encore le communisme et cela n'élimine pas encore le "droit bourgeois" qui, à des hommes inégaux et pour une quantité inégale (inégale en fait) de travail, attribue une quantité égale de produits.19

22. PHASE SUPÉRIEURE DE LA SOCIÉTÉ COMMUNISTE

Marx poursuit :
  • "Dans une phase supérieure de la société communiste, quand auront disparu l'asservissante subordination des individus à la division du travail et, avec elle, l'opposition entre le travail intellectuel et le travail manuel; quand le travail ne sera pas seulement un moyen de vivre, mais deviendra lui-même le premier besoin vital; quand, avec le développement multiple des individus, les forces productives se seront accrues elles aussi et que toutes les sources de la richesse collective jailliront avec abondance, alors seulement l'horizon borné du droit bourgeois pourra être définitivement dépassé et la société pourra écrire sur ses drapeaux : "De chacun selon ses capacités, à chacun selon ses besoins"."
(….)
La base économique de l'extinction totale de l'État, c'est le communisme arrivé à un si haut degré de développement que toute opposition disparaît entre le travail intellectuel et le travail manuel et que, par conséquent, disparaît l'une des principales sources de l'inégalité sociale contemporaine, source que la seule socialisation des moyens de production, la seule socialisation des moyens de production, la seule expropriation des capitalistes ne peut en aucune façon tarir d'emblée.
Cette expropriation rendra possible un essor gigantesque des forces productives. Et voyant comment le capitalisme, dès maintenant, entrave incroyablement cet essor, et combien de progrès l'on pourrait réaliser grâce à la technique moderne déjà acquise, nous sommes en droit d'affirmer, avec une certitude absolue, que l'expropriation des capitalistes entraînera nécessairement un développement prodigieux des forces productives de la société humaine. (….)
En attendant l'avènement de la phase "supérieure"" du communisme, les socialistes réclament de la société et de l'État qu'ils exercent le contrôle le plus rigoureux, sur la mesure de travail et la mesure de consommation ; mais ce contrôle doit commencer par l'expropriation des capitalistes, par le contrôle des ouvriers sur les capitalistes, et il doit être exercé non par l'État des fonctionnaires, mais par l'État des ouvriers armés. (...)
Mais la différence scientifique entre socialisme et communisme est claire. Ce qu'on appelle communément socialisme, Marx l'a appelé la "première" phase ou phase inférieure de la société communiste. Dans la mesure où les moyens de production deviennent propriété commune, le mot "communiste" peut s'appliquer également ici, à condition de ne pas oublier que ce n'est pas le communisme intégral. Le grand mérite des explications de Marx est d'appliquer, là encore, de façon conséquente, la dialectique matérialiste, la théorie de l'évolution, et de considérer le communisme comme quelque chose qui se développe à partir du capitalisme. Au lieu de s'en tenir à des définitions "imaginées", scolastiques et artificielles, à de stériles querelles de mots (qu'est-ce que le socialisme ? qu'est-ce que le communisme ?), Marx analyse ce qu'on pourrait appeler les degrés de la maturité économique du communisme.
Dans sa première phase, à son premier degré, le communisme ne peut pas encore, au point de vue économique, être complètement mûr, complètement affranchi des traditions ou des vestiges du capitalisme. De là, ce phénomène intéressant qu'est le maintien de l'"horizon borné du droit bourgeois", en régime communiste, dans la première phase de celui-ci. Certes, le droit bourgeois, en ce qui concerne la répartition des objets de consommation, suppose nécessairement un État bourgeois, car le droit n'est rien sans un appareil capable de contraindre à l'observation de ses normes.
Il s'ensuit qu'en régime communiste subsistent pendant un certain temps non seulement le droit bourgeois, mais aussi l'État bourgeois — sans bourgeoisie !
Cela peut sembler un paradoxe ou simplement un jeu dialectique de l'esprit, ce que reprochent souvent au marxisme ceux qui n'ont jamais pris la peine d'en étudier, si peu que ce soit, la substance éminemment profonde.
En réalité, la vie nous montre à chaque pas, dans la nature et dans la société, des vestiges du passé subsistant dans le présent. Et ce n'est point d'une façon arbitraire que Marx a inséré dans le communisme une parcelle du droit "bourgeois» ; il n'a fait que constater ce qui, économiquement et politiquement, est inévitable dans une société issue des flancs du capitalisme.
La démocratie a une importance énorme dans la lutte que la classe ouvrière mène contre les capitalistes pour son affranchissement. Mais la démocratie n'est nullement une limite que l'on ne saurait franchir ; elle n'est qu'une étape sur la route de la féodalité au capitalisme et du capitalisme au communisme. (….)
Ici, "la quantité se change en qualité" : parvenu à ce degré, le démocratisme sort du cadre de la société bourgeoise et commence à évoluer vers le socialisme. Si tous participent réellement à la gestion de l'État, le capitalisme ne peut plus se maintenir. Et le développement du capitalisme crée, à son tour, les prémisses nécessaires pour que "tous" puissent réellement participer à la gestion de l'État. Ces prémisses sont, entre autres, l'instruction générale déjà réalisée par plusieurs des pays capitalistes les plus avancés, puis "l'éducation et la formation à la discipline" de millions d'ouvriers par l'appareil socialisé, énorme et complexe, de la poste, des chemins de fer, des grandes usines, du gros commerce, des banques, etc., etc.
Avec de telles prémisses économiques, on peut fort bien, après avoir renversé les capitalistes et les fonctionnaires, les remplacer aussitôt, du jour au lendemain, pour le contrôle de la production et de la répartition, pour l'enregistrement du travail et des produits, par les ouvriers armés, par le peuple armé tout entier. (Il ne faut pas confondre la question du contrôle et de l'enregistrement avec celle du personnel possédant une formation scientifique, qui comprend les ingénieurs, les agronomes, etc. : ces messieurs, qui travaillent aujourd'hui sous les ordres des capitalistes, travailleront mieux encore demain sous les ordres des ouvriers armés.)
Enregistrement et contrôle, tel est l'essentiel, et pour la "mise en route" et pour le fonctionnement régulier de la société communiste dans sa première phase. Ici, tous les citoyens se transforment en employés salariés de l'État constitué par les ouvriers armés. Tous les citoyens deviennent les employés et les ouvriers d'un seul "cartel" du peuple entier, de l'État. Le tout est d'obtenir qu'ils fournissent un effort égal, observent exactement la mesure de travail et reçoivent un salaire égal. L'enregistrement et le contrôle dans ce domaine ont été simplifiés à l'extrême par le capitalisme, qui les a réduits aux opérations les plus simples de surveillance et d'inscription et à la délivrance de reçus correspondants, toutes choses à la portée de quiconque sait lire et écrire et connaît les quatre règles d'arithmétique [Quand l'État réduit ses fonctions essentielles à un semblable enregistrement et à un contrôle de ce genre effectués par les ouvriers eux-mêmes, il cesse d'être un "État politique"; les "fonctions publiques perdent leur caractère politique et se transforme en de simples fonctions administratives" . (Voir plus haut, chapitre IV.2 : "La polémique d'Engels avec les anarchistes").].
Quand la majorité du peuple procédera par elle-même et partout à cet enregistrement, à ce contrôle des capitalistes (transformés désormais en employés) et de messieurs les intellectuels qui auront conservé leurs pratiques capitalistes, alors ce contrôle sera vraiment universel, général, national et nul ne pourra s'y soustraire, de quelque manière que ce soit, "il n'y aura plus rien à faire".
La société tout entière ne sera plus qu'un seul bureau et un seul atelier, avec égalité de travail et égalité de salaire.
Mais cette discipline "d'atelier" que le prolétariat, après avoir vaincu les capitalistes et renversé les exploiteurs, étendra à toute la société n'est nullement notre idéal ni notre but final ; c'est seulement un échelon nécessaire pour débarrasser radicalement la société des vilenies et des ignominies de l'exploitation capitaliste, et assurer la marche continue en avant.
Dès l'instant où tous les membres de la société, ou du moins leur immense majorité, ont appris à gérer eux-mêmes l'État, ont pris eux-mêmes l'affaire en main, "organisé" le contrôle sur l'infime minorité de capitalistes, sur les petits messieurs désireux de conserver leurs pratiques capitalistes et sur les ouvriers profondément corrompus par le capitalisme — dès cet instant, la nécessité de toute administration en général commence à disparaître. Plus la démocratie est complète, et plus proche est le moment où elle deviendra superflue. Plus démocratique est l'"État" constitué par les ouvriers armés et qui "n'est plus un État au sens propre", et plus vite commence à s'éteindre tout État.20

Dans une société basé sur production en fonction de besoins et donc basé sur la production des «valeurs d’usage» (ce qui est apres moi l'essentiel d'une société COMMUNISTE...), le « cout » perd tout signification, parce que ce que « cout » ce n’est que prix d’achat pour une «productuer/consommateur» et prix d’achat ce n’est que prix de vente pour de «producteur/fournisseur» donc «cout» ce n’est qu’une expression de «valeur d’échange» (et donc une expression d’économie de marchandises, …. ce que le communisme n’ est plus) Donc le meilleur produit pour satisfaire une certain besoin et le meilleur technologie de production est concu sans tenir compte de aucun «cout» …. donc  c'est «automatiquement» une technologie écologique, avec incorporé le principe de production circulaire (le utilisation des components d’un produit a la fin de la «vie d’une produit»), et la production des produits en quantité juste sufissante pour la «demande». Et la définition d’un besoin par consultation sociale et démocratique…..

Dans une prochaine article je vais élaborer une vision, une «image» sur : comment – dans quelles circonstances – va se dérouler la révolution en Belgique et la développement de la première étape du communisme en Belgique baser sur mes «notes d’étude» chez quelques livre de Marx et Lénine.

1 Karl MARX, Contribution à la critique de l’économie politique, Berlin, 1859, p. 3.
2 « Le désir implique le besoin ; c'est l'appétit de l'esprit, lequel lui est aussi naturel que la faim l'est au corps. C'est de là que la plupart des choses tirent leur valeur. » (Nicholas BARBON, A Discourse concerning coining the new money lighter, in answer to Mr Locke's Considerations, etc., London, 1696, p. 2 et 3.)
3https://www.marxists.org/francais/marx/works/1867/Capital-I/kmcapI-I-1.htm, Le Capital - Livre premier, « Le développement de la production capitaliste » (Karl MARX), I° section : la marchandise et la monnaie - Chapitre premier : La marchandise
4Les “consommateur” sont pour la majorité des travailleurs, dont leur “source” de revenu est la vente de leur force de travaille….
5“subjectivement”, parceque le “consommateur” avec une revenu limité doit choisir quel besoin il veut ( ou peut0 satisfaire, avec l’achat de certains marchandises et aussi parceque le marchandise “proposé" pour la vente ne qu’est SUPPOSÉ d’être ‘produit” pour être capable de satisfaire une certain besoin
6 « Ce qui fait la valeur naturelle d'une chose, c'est la propriété qu'elle a de satisfaire les besoins ou les convenances de la vie humaine. » (John LOCKE, Some Considerations on the Consequences of the Lowering of Interest, 1691 ; in Works, Londres, 1777, t. II, p. 28.) Au XVIIe siècle on trouve encore souvent chez les écrivains anglais le mot Worth pour valeur d'usage et le mot Value pour valeur d'échange, suivant l'esprit d'une langue qui aime à exprimer la chose immédiate en termes germaniques et la chose réfléchie en termes romans.
7 Dans la société bourgeoise « nul n'est censé ignorer la loi ». — En vertu d'une fictio juris [fiction juridique] économique, tout acheteur est censé posséder une connaissance encyclopédique des marchandises.
8Le Capital - I, « Le développement de la production capitaliste », I° section : la marchandise et la monnaie - Chap. 1 : La marchandise.
9 « La valeur consiste dans le rapport d'échange qui se trouve entre telle chose et telle autre, entre telle mesure d'une production et telle mesure des autres. » (LE TROSNE, De l'intérêt social , in Physiocrates, Ed. Daire, Paris, 1846, t. XII, p. 889.)
10 « Rien ne peut avoir une valeur intrinsèque. » (N. BARBON, op. cit., p. 6) ; ou, comme dit Butler :
The value of a thing
Is just as much as it will bring
.
11 « One sort of wares are as good as another, if the value be equal ... There is no difference or distinction in things of equal value. » Barbon ajoute : « Cent livres sterling en plomb ou en fer ont autant de valeur que cent livres sterling en argent ou en or. » (N. BARBON, op. cit., p. 53 et 7.)
12Le Capital - I, « Le développement de la production capitaliste », I° section : la marchandise et la monnaie - Chap. 1 : La marchandise.
13Le Capital - I, « Le développement de la production capitaliste », I° section : la marchandise et la monnaie - Chap. 1 : La marchandise.
14 « Dans les échanges, la valeur des choses utiles est réglée par la quantité de travail nécessairement exigée et ordinairement employée pour leur production. » (Some Thoughts on the Interest of Money in general, and particulary in the Public Fonds, etc., London, p. 36.) Ce remarquable écrit anonyme du siècle dernier ne porte aucune date. D'après son contenu, il est évident qu'il a paru sous George II, vers 1739 ou 1740. [Note à la deuxième édition]
15 « Toutes les productions d'un même genre ne forment proprement qu'une masse, dont le prix se détermine en général et sans égard aux circonstances particulières. » (Le TROSNE, op. cit., p. 893.)
16 (Et non simplement pour d'autres. Le paysan au Moyen Age produisait la redevance en blé pour le seigneur féodal, la dîme en blé pour la prêtraille. Mais ni le blé de la redevance, ni le blé de la dîme ne devenaient marchandise, du fait d'être produits pour d'autres. Pour devenir marchandise, le produit doit être livré à l'autre, auquel il sert de valeur d'usage, par voie d'échange.)
J'intercale ici ce passage entre parenthèses, parce qu'en l'omettant, il est arrivé souvent que le lecteur se soit mépris en croyant que chaque produit, qui est consommé par un autre que le producteur, est considéré par Marx comme une marchandise. (F. E.) [Friedrich Engels pour la 4° édition allemande]
17Le Capital - I, « Le développement de la production capitaliste », I° section : la marchandise et la monnaie - Chap. 1 : La marchandise.

18DANS « L’ ÉTAT ET LA RÉVOLUTION » (LÉNINE), EN « CHAP 5. LES BASES ÉCONOMIQUES DE L’EXTINCTION DE L’ÉTAT - 20. LA TRANSITION DU CAPITALISME AU COMMUNISME » MARXISTS.ORG.

19DANS « L’ ÉTAT ET LA RÉVOLUTION » (LÉNINE), EN « CHAP 5. LES BASES ÉCONOMIQUES DE L’EXTINCTION DE L’ÉTAT - 21. PREMIÈRE PHASE DE LA SOCIÉTÉ COMMUNISTE », MARXISTS.ORG.


20DANS « L’ ÉTAT ET LA RÉVOLUTION » (LÉNINE), EN « CHAP 5. LES BASES ÉCONOMIQUES DE L’EXTINCTION DE L’ÉTAT - 22. PHASE SUPÉRIEURE DE LA SOCIÉTÉ COMMUNISTE », MARXISTS.ORG.

Geen opmerkingen:

Een reactie posten