23-02-2018

Considérations sur “Parti Communiste’ …. et en Belgique.

Sur la site Cultural Revolution

Considérations sur “Parti Communiste’ …. et en Belgique.

Il y a des gens qui sentent la nécessité pour fonder une organisation, qui se pose la tâche de initier la processus pour une renversement révolutionnaire de la société capitaliste/bourgeois et ses “institutions”, par la mobilisation de ces couches de la populations qui ont objectivement le plus important interet avec une révolution pareil.
D’après moi one doit d’être accord entre sois dans ce cas d’une programme, une stratégie et des formes d’organisations. ….. En fait c’est que j’ai compris d’être l’essentiel du “Que Faire?” de Lenin.
Le concept pour une tel organisation que Lénine élaborait et qui a prouvé (vue historiquement) son efficacité – avec la Révolution d’Octobre comme preuve, en tout cas pour la situation ou une renversement revolutionaire doit encore se passer … comme d’aujourd’hui … en Belgique – c’est une Parti Communiste répondant aux “principes léninistes de parti”.
Depuis son 8ieme congres (en 2008), la MAJORITÉ des membres/cadres/ militants du PTB on voté pour une ANNULATION de ces principes, et définitivement décidé devenir une parti qui opère DANS le société capitaliste/bourgeois existant.

La plus grande parti de la population a une intérêt OBJECTIVE avec révolution et avec briser les relations capitalistes de production et de (finalement) la construction des relations de production communistes. Elle a une composition non-homogène (petits indépendants, les entreprises de famille (p. ex. Les fermes), le professions intellectuelles, et les travailleurs)
Mais c’est la classe ouvrière qui a objectivement un intérêt direct avec une démolition révolutionnaire des relations de productions capitalistes. La composition de la classe ouvrière, qui dépend de la stade de développement du capitalisme, doit être déterminé concrètement. Certains groupes des membres de la classe ouvrière, de qui une analyse de classes dit qu’ils appartiennent au classe ouvrière, devraient certainement été poussé vers une conscience de classe.
C’est la classe ouvrière qui doit devenir conscient de sa tache historique, la révolution, et rassembler et organiser autour d’elle ces autre couches de la population qui ont aussi un intérêt avec une démolition des relations de productions capitalistes.
Le Parti Communiste faire parti de la classe ouvrière, mais organise en sois, l’avant garde de la classe ouvrière. l’Objectif c’est de tires la plus grande parti de la classe ouvrière vers cet niveau de l’avant garde (qui coïncide avec ‘devenir conscient de sa tache historique’)

Révolution “possible dans une pays”(Lénine) …. donc Parti Communiste de Belgique

Bien que l’objective c’est finalement la révolution a l’échelle mondiale, la révolution es possible … et bien probable premièrement dans une pays (ou une nombre de pays). Aussi par la développement inégale du capitalisme et parce que la gestion du capitalisme et parce-que la soumission des travailleurs en l’exploitation des travailleurs se organisent dans les frontières des états bourgeois respectives.
C’est pourquoi dans chaque pays s’organise une Parti Communiste (en principe comme département d’une organisation Internationale – mais qui n’existe pas encore..)
Une Parti Communiste de Belgique, pas comme ‘organisation de l’avant-garde des ouvriers Belges « , mais « l’avant-garde des ouvriers en Belgique » ( sans distinction ‘d’origine étranger ou de ‘nationalité’ de ces ouvriers EN Belgique)
Donc nous n’ allons pas nous limiter par une légitimé BOURGEOIS sur ‘qui en Belgique peur se concerner avec ‘politique’
… et on ne se limite non plus a ce que les conventions bourgeois déterminent d’être les frontières de l’état de Belgique.
En fait la formule de Parti Communiste est “juste” l´expression “du POSSIBILITÉ de révolution en une pays”…. Parce que lié a “la possibilité de révolution en un nombre de pays en même temps”.

Pour ne pas inventer le roue une seconde fois on doit commencer de faire une analyse/bilan de tout les essais historiques de fonder une organisation communiste. Ou peut mieux fait cela que dans une organisation qui est l’héritier directe du Parti Communiste de Belgique, qui par l’affirmation qu’il était une “Département de la Troisième Internationale’, en PRINCIPE (et un bilan doit démontrer s’il y avait fait des fautes avec cela) rejoint la stratégie et principe d’organisation du Parti Communiste de l’Union Soviétique (Bolcheviki). En condition que cet bilan va être fait un fois et que les conclusions font être appliquer, a cet moment ci c’est le Parti Communiste de Wallonie-Bruxelles.

En tout cas d’une révolution en Belgique, ceci est accompagné (ou est la RAISON) des développements révolutionnaire dans les pays voisins ( Concrètement en France ou/et Pays-Bas ou/et Luxembourg ou/et Allemagne…. Et ça sera probable le cas réciproquement.
Quand il y a l’opportunité – par la fusion des mouvement de lutte de classe A TRAVERS des frontières – de étendre la révolution, cela ne sera pas être négligé. Des développement dans la Sud d’Europe aura de l’influence sur les développements révolutionnaires en Belgique ´(… et les pays voisins comme France, Luxembourg, Pays Bas et Allemagne)

Quel programme concrètement?
Je vais en discuter dans une article distincte. Mais pour l’inspiration on peut étudier le Parti Communiste Grecque …. comme j’ai fait dans une article en 2013 (mais en anglais...): 9-04-13 About issues on the 19th Congress of the KKE  … et aussi : 04-04-13 The KKE about "What is socialism?"

Programme d’Agitation ( ce n’ est pas un “programme transitoire” ou “programme minimum” ou simple “programme des revendications”)… ou comment agir dans les conditions “pas encore révolutionnaire”
Au moment que le capitalisme COMMENÇAIT se développer, historiquement (… et quand aussi la classe ouvrière elle même commençait se développer), – p. ex au moment du révolution démocratique bourgeois – on pouvait parler éventuellement d’une programme transitoire ou programme minimum. Il n’y avait pas encore le cas des réalisations, des acquis (résultat des luttes de classes). TOUS les améliorations au relation d’exploitation devraient encore être conquis.
Tout ces “reformes” et résultats acquis sont en train d’être démolies, un par un et pas par pas, depuis la commence de la crise en 1974. Donc la lutte pour des “reforme” se résume à un essai a arrêter le plus possible cet démolition ou a empêcher un certain démolition spécifique ou (exceptionnellement) savoir annuler certain démolition.
La lutte de classe « spontané » se développera contre certaine démolition d’une acquis, contre un clôture ou contre l’introduction d’une mesure ou autre qui augmente le niveau la relation d’exploitation. La lutte est justifié mais est « défensive ». Les communistes doivent, avec discussion, formation et éducation, rendre a la lutte de classe une caractère OFFENSIVE … pour enfin éclaircir que seulement révolution est la voie le plus offensive.
Les communistes, participant à la lutte de classe (faisant parti de la classe ouvrière, organisant son avant-garde), développent et proposent des mots d’ordres et propositions d’actions qui se jointent le plus close a la lutte existante, en la donnant l’orientation vers la nécessité de finalement « briser les relations de production capitaliste »
Donc uniquement des exigences/mots d’ordres qui brise avec la « légalité »/ les « frontières »/ les conditions capitaliste/bourgeois peuvent répondre aux soupirs directe/spontanée des travailleurs exprimés dans leur lutte de classe. Par savoir stimuler la lutte classe jusqu-a la niveau de ces exigences/mots d’ordres, la perspicacité se développe ( sur base des expériences de lutte) que finalement le carcan des relations capitalistes de production doit être brisé en que ça doit être devenir l’objectif de la lutte. La lutte qui doit briser l’ordre de l´état bourgeois/capitaliste, installer le pouvoir de la classe ouvrière et remplacer la « démocratie parlementaire » (façade de la dictature bourgeois) par un véritable système démocratique de consultation, d'échange d'informations, de discussion, de représentation / délégation, de décision et de contrôle de la mise en œuvre des décisions. Un système démocratique qui sera déjà élaborées dans la lutte même. (similaire aux système des conseils - «soviets»)

Exemples de mots d'ordre qui traitent vraiment des aspirations réelles de la classe ouvrière luttant, et ne tiennent pas compte de la «légalité» capitaliste / bourgeoise ou de ses «limites»
– Par rapport aux fermetures d'entreprises, des “délocalisation”, des “faillites”, des privatisations: exécution par la lutte, des expropriations de tout une secteur dont appartenaient ces entreprises respectives, avec une direction / conseil élu, provenant de la mouvement de la lutte, qui a exécuté l'expropriation, et qui rendra compte régulièrement.
– Par rapport des mesures d’austérité, d’épargne ….: récupération de toutes mesures de la remise des salaires et l'effondrement de la sécurité sociale, mesures de manipulation en amputation de l’index et donc récupération dans l’état originale de la Sécurité Sociale (et aussi de sa financement), récupération de toute pillage des soi-disant “surplus’ de certains caisses ….depuis le commencement de la crise en 1974.
– Ces mots d’ordres IMPLIQUENT EN MÊME TEMPS une DE-fédéralisation par récupération de toutes les (6 ou 7?) “reformes de l’état” (EN COMPRIS les “modifications constitutionnelles”) vers la situation AVANT (et donc avec sa annulation) la “loi sur l’installation de la frontière de langue” en les années 60
– rompre de tous les liens économique, politique, militaire avec le régime d’apartheid/colonialiste d’Israël. Parce qu’on ne reconnaît pas Israël, se n’est pas une intervention avec des affaires internes … (en fait par les règles de justice internationale bourgeois on peut pas reconnaître Israël … elle n’a même pas une constitution!)
– ….
Ainsi, la discussion sur l'objet de la lutte qui se déclenche "spontanément" à cause d'un certain "soupir" sera pour des communistes toujours une raison pour proposer la lutte révolutionnaire réellement nécessaire de briser les relations de production capitalistes et pour installer le socialisme.
Le programme du Parti Communiste devra pour cet raison avoir une formulation élaboré et concrète comment le « socialisme en une pays’ - en Belgique donc - est possible et sera construit.

Donc l’objective de lutte/point de programme “pension minimum de 1500 euro’ (même quand c’est NETTE). c’est du POPULISME/RÉFORMISME
"La pension minimum de 1500" en tant qu'objectif de combat doit être liée sans condition à récupération de toutes mesures de la remise des salaires et l'effondrement de la sécurité sociale, mesures de manipulation et amputation de l’index et donc récupération dans l’état originale de la Sécurité Sociale (et aussi de sa financement), récupération de toute pillage des soi-disant “surplus’ de certains caisses ….depuis le commencement de la crise en 1974 ... et ensuite indexation correcte des pensions, comme les autres allocations ... et des salaires. IMPLICITE fait aussi partie de cet objectif de lutte: DE-fédéralisation complète jusqu’-à la situation comme il était à l’installation de cette Sécurité Sociale NATIONAL.
Si cela n'est pas formulé dans l’objective de lutte/ programme(d’élection), alors c'est du populisme et / ou du réformisme.

Exemple pour 'l'objective de la lutte' ".. rompre de tous les liens économique, politique, militaire avec le régime d’apartheid/colonialiste d’Israël": 
En Anglais je faisait cette article en 2009:  25 januari 2009  We, European workers, have to FORCE a weakening of "Israel"

Par exemple pour le secteur d’automobile d’une texte de agitation/discussion/propagande qui peut être utilisé par les travailleurs/syndicaliste (membres du CP) qui travaillent DANS une entreprise d’assemblage d’automobile et participant au lutte contre fermeture

En Anglais je faisais l’article suivante, au moment des clôtures des différents entreprises d’assemblage des automobiles (Opel, Ford, ,,,,,): donderdag 19 februari 2009 The workers must not fight for “reforming” capitalism, but to beat it 

Autre exemple: une article en Études Marxiste au moment de la fermeture de la production de soude de Solvay (en 1993):