15-02-2020

Objectifs de lutte en fonction de la popularité (du parti de l’opposition) OUBIEN objectifs de lutte en fonction des interets de classe des travailleurs

                                   Hier in het nederlands
Qu'est-ce que le PTB social-démocrate fixe comme objectifs de lutte et comment le PTB propose d’en lutter?

Le service d'études du PTB a analysé la situation fiscale de la multinationale GSK en Belgique. “Au cours des 10 dernières années, GSK a pu déduire 4,2 milliards d’euros”, constate Germain Mugemangango, porte-parole francophone du PTB. “Cette multinationale a profité au maximum de deux niches fiscales. D’une part, la déduction pour revenu de brevets qui lui permet de déduire 2,6 milliards d’euros et d’autre part les intérêts notionnels qui lui permettent de déduire près de 1,6 milliards d’euros. Des montants pharamineux ! (…) GSK est une entreprise largement bénéficiaire qui profite largement des avantages fiscaux de ce pays mais qui n’hésite pas pour autant à détruire près d’un millier d’emplois. Les mécanismes fiscaux dont bénéficient ces multinationales ne garantissent donc rien du tout. " 
Pour le PTB, ces mécanismes doivent disparaître. (...) "De plus, toute subvention ou facilité fiscale accordée aux entreprises doit être conditionnée de manière contraignante à des impératifs écologiques et sociaux comme le maintien d’emplois de qualité. Si des entreprises qui ont ainsi été soutenues par les fonds publics licencient, elles doivent rendre en tout ou en partie les cadeaux perçus. C’est ce qui doit se passer pour GSK si cette multinationale maintient son plan de licenciement.1
En fait, ces “subventions ou facilité fiscale” ne sont donc pas un problème pour le PTB, tant qu'ils sont “soumis à des impèratifs écologiques et sociaux, telles que le maintien d'emplois de qualité”. Cela signifie que la stratégie de renforcement de la compétitivité (par l'État belge) ... et donc en fait le capitalisme - s'il n'est que suffisamment "socialement" ajusté - n'est PAS remis en question.

La même acceptation des économies et asainissements historiques depuis 1974 (mise en œuvre en Belgique - comme PARTOUT - pour accroître sans cesse la competitivité des "propres capitalistes" dans un monde de surcapacité chronique), tant qu'ils sont "liés à des conditions fortes pour la création des emplois supplémentaires", ici chez Kim De Witte:

Kim De Witte: "...nous devons également remettre en cause le poison qui ronge le système, à savoir la réduction constante des cotisations sociales des employeurs. Cela mine la sécurité sociale, et se matérialise à travers toutes sortes de paiements extra-légaux, d'exemptions et de subventions salariales.Cela coûte 16 milliards d'euros par an à la sécurité sociale, comme nous l'avons déjà mentionné. Il est temps de faire une évaluation sérieuse de cette politique et de lier ces pratiques à des conditions fortes pour la création d'emplois supplémentaires.2

Vous trouverez ICI des arguments plus concrets concernant les positions que j'ai prises à ce sujet – qu’on pourrait appeler - "le populisme opportuniste de gauche" du PTB

Bien sûr, il y a les subventions qui sont accordées pour promouvoir la compétitivité. Mais les "remettre enquestion", par une "intervention de l'opposition", ce n’est seulement pour rendre ce parti de l’opposotion plus populaire. (et pas seulement le PTB est un tel parti d'opposition ...)

En 2008, ces subsides sont également été mis en question par une parti de l‘opposition dans Parlement wallon, notamment par Petitjean Charles du Front National:

Les médias audiovisuels et écrits ont largement commenté la décision de Glaxo Smith Kline d'investir 300 millions d'euros pour construire une nouvelle usine à Singapour.
Cette nouvelle usine sera opérationnelle en 2011. Dans sa phase industrielle, elle tournera avec six expatriés affectés à la formation des équipes et au transfert technologique. D'ici 2011, GSK aura engagé 200 personnes pour travailler sur le site biomédical de Tuas.
Cela relève da sa liberté de créer une nouvelle unité, mais nous sursautons quand il est ajouté que cette usine fabriquera un nouveau vaccin conçu chez G.S.K Biologicals à Wavre.
Alors que GSK a largement profité de subsides R&D de la Région wallonne, non seulement elle transfère le fruit de ses recherches de chez nous vers l'étranger, mais encore elle annonce un vaste plan de restructuration avec, notamment, la fermeture d'un de ses trois sites à Heppignies et déjà le licenciement de 25 cadres commerciaux à Genval.
Au-delà de l'aspect innovant de la recherche, est-ce normal qu'après une découverte nouvelle l'exploitation se fasse à l'étranger après avoir accumulé lesaides de la Région wallonne ? Est-ce même civique ?”

La reponse de SIMONET Marie-Dominique (CdH), Ministre de la Recherche, des Technologies nouvelles et des Relations extérieures dans le Gouvernement Wallon:
Quant à l'emploi de GSK en Région wallonne, il fait l'objet d'une augmentation importante au fil des années, et une augmentation est encore prévue jusqu'en 2011, et ceci malgré la création d'une unité de production à Singapour et la fermeture du site d'Heppignie en 2010.
Comme l'honorable Membre le voit, la présence de GSK en Région wallonne est globalement extrêmement positive pour la Région, avec environ 6.000 emplois, dont 1.800 chercheurs, et des investissements se chiffrant en centaines de millions d'euro.
GSK bénéficie aussi, comme toute entreprise effectuant une recherche en Belgique, d'une aide fédérale. Je vous suggère d'interroger ce niveau de pouvoirpour en savoir plus.
Aucune grande compagnie internationale ne peut échapper à la mondialisation de l'économie. GSK a déjà des sites de production dans le monde entier (USA, Inde, Allemagne, Canada, France, Chine et demain Singapour). Dans un marché aussi compétitif que la pharmacie, avec en particulier les différences de coût de main d'œuvre et l'apparition de médicaments génériques, c'est devenu une nécessité.
Les aides wallonnes, fort limitées par rapport aux investissements de GSK dans la région, contribuent à l'ancrage wallon de cette société.
Au delà de ces investissements, je vous rappelle que GSK biological, et en particulier son Président Directeur-général Jean Stéphenne, sont des éléments moteurs du pôle de compétitivité BIOWIN du Plan Marshall.
En résumé, tout en laissant à GSK le choix de sa stratégie de développement, il est clair que son investissement en Région wallonne, aussi bien en termes de R & D que d'emploi, est très important pour la Région et est en croissance chaque année.3

Faire un “objectif de lutte” proposé de la demande de rembourser les subsides, signifie simplement que la réduction de l'emploi est acceptée si les subsides sont remboursées. Ou cela signifie qu’on veut l'utiliser comme un “argument de négociation» pour faire “cher” le licenciement (‘imposer un “bon” plan social’)

Bien, la restructuration actuelle de GSK n'est pas une opération ponctuelle aujourd'hui. Ce n'est pas seulement le cas de GSK. Depuis les années 1980, il y a eu une fléau CONTINUELLE des restructuration, ... et chez TOUS les monopoles capitalistes et les multinationales, ... et dans TOUS les pays. La raison: la crise de surcapacité structurelle dans laquelle se trouve l'impérialisme/capitalisme mondial depuis 1974

Le responsable du Service d'Études du PTB (… en 2002 en tout cas) a fait l’analyse suivante À CET MOMENT en Études Marxistes no 59, 2002:

D’un côté, les capitalistes poussent à l’accroissement de la production, en créant sans cesse de nouvelles capacités. De l’autre, ils limitent la consommation des masses. Ce qui aggrave la situation potentielle de surproduction. Sur cette base, le secteur financier se développe d’une façon démesurée, qui ne correspond plus à la réalité de la production.(…)
L’ampleur de ces phénomènes nous amène à conclure qu’il n’y a plus que deux grandes issues au capitalisme dans la situation présente : soit le déclenchement d’une nouvelle guerre mondiale, provoquée par l’exacerbation de toutes les contradictions du système, celle-ci étant elle-même poussée par la crise économique actuelle ; soit le renversement du capitalisme et son remplacement par un mode supérieur, le socialisme.
De toute façon, même la guerre mondiale, avec son cortège d’abominations et de carnages, entraînera un rejet du capitalisme par les populations. Elle accélérera le processus révolutionnaire et, comme les deux précédentes (1914-1918 et 1939-1945), elle sera le point de départ de soulèvements populaires, menant à la destruction des Etats capitalistes et à la construction de leurs pendants socialistes.(...)
La crise économique actuelle a démarré en 1973, par une chute importante de la production. Depuis lors, il y a une longue période de stagnation économique caractérisée par les éléments suivants : 1. une croissance fortement atténuée par rapport à celle des années 50 et 60 ; 2. un développement saccadé avec, périodiquement, des baisses de production (que l’on peut appeler crises conjoncturelles) ; 3. un chômage et un sous-emploi chronique ; 4. des tensions monétaires et financières constantes. On appellera cette période crise structurelle. Elle se prolonge, dure des années. Pendant tout ce temps, la bourgeoisie ne parvient pas à trouver des solutions adéquates pour en sortir.
Cette situation n’est pas unique dans l’histoire. On la retrouve d’abord entre 1873 et 1895. Fondamentalement, la bourgeoisie européenne résout le problème posé en s’orientant vers la colonisation, qui offre des débouchés, des marchés et des matières premières aux impérialistes. Mais cela engendre une course aux colonies, à l’origine de la Première Guerre mondiale. Ensuite, une seconde crise structurelle apparaît dans les années 20 et 30. Toutes les solutions employées par la bourgeoisie ne débouchent alors qu’à une exacerbation des contradictions du système capitaliste mondial. Le New Deal ne sort pas les Etats-Unis de la crise. Le nazisme lance les impérialistes les uns contre les autres. Il mène une grande offensive contre le socialisme.2 Ainsi, la crise de 1929 aboutit à la Seconde Guerre mondiale. Aujourd’hui, nous sommes confrontés à une nouvelle crise structurelle du même type.(…)
Seul le marxisme-léninisme peut offrir une explication valable de la crise économique sous le capitalisme et en tirer les véritables conséquences. Au centre de la récession se trouve l’exploitation des travailleurs, qui sert à l’accumulation croissante de richesses aux mains d’une poignée de capitalistes. C’est pour cela que, d’une part, les entreprises développent toujours davantage la production, créent de nouvelles unités pour accroître leurs bénéfices, et que, d’autre part, les salariés, qui forment la grande majorité de la population, voient leur pouvoir d’achat sans cesse limité et contraint. Dès lors, le taux de profit des firmes a tendance à baisser, parce qu’il faut toujours plus de capital pour des gains plus restreints. La concurrence entre firmes devient plus âpre. Chaque capitaliste veut éliminer ses adversaires. C’est l’anarchie. Et il en résulte la surproduction, fondement de la crise économique capitaliste.
Comme l’écrit Marx : “La raison ultime de toute véritable crise demeure toujours la pauvreté et la limitation de la consommation des masses, en face de la tendance de la production capitaliste à développer les forces productives comme si elles n’avaient pour limite que la capacité de consommation absolue de la société.” C’est le cœur du système capitaliste, son fondement, son caractère d’exploitation toujours reproduit et agrandi.
Avec l’impérialisme, ère des monopoles, on se trouve à un stade supérieur. La crise structurelle est la preuve que le capitalisme s’embourbe dans ses antagonismes et qu’il ne peut en venir à bout par les moyens traditionnels. C’est pour cela que les bourgeois s’orientent vers la guerre mondiale. De ce fait, la crise structurelle fait partie intégrante de la crise générale du capitalisme, c’est-à-dire de la décomposition du système par ses contradictions internes et par l’avènement d’un mode de production supérieur, le socialisme. (…)
Lénine a défini l’impérialisme comme étant l’ère des monopoles. Aujourd’hui, la concentration a atteint un tel niveau qu’il ne subsiste plus dans la plupart des secteurs qu’un nombre très restreint de grandes entreprises à l’échelle mondiale. (….)
Ce processus de concentration a, en fait, pris une extension particulièrement rapide entre 1995 et 2000. Il y a eu, à ce moment, une vague de fusions sans précédent dans l’histoire. Les montants en jeu passent de 975 milliards de dollars en 1995 à environ 3.500 milliards en 2000. Ils retombent à près de la moitié en 2001 : 1.744 milliards. Une majorité des investissements capitalistes durant cette période concernent des rachats de firmes. Ce qui montre que le capitalisme crée de moins en moins de nouvelles firmes réelles mais consacre ses dépenses à une lutte de pouvoir, d’hégémonie, dans laquelle les travailleurs ne sont que des soldats. Obligés d’œuvrer tant et plus dans les firmes pour qu’elles soient de plus en plus compétitives, ceux-ci sont jetés au chômage au moment des restructurations.(…)
La concentration se traduit par la création accélérée de capacités de production. Etant donné que le pouvoir d’achat de la population n’augmente pas à la même vitesse, cela crée, en fait, des surcapacités.4

Donc, le capitalisme actuel: surcapacité quasi permanente et production dans un chaos toujours croissant.

Le capitalisme ne peut même pas faire semblant qu'il peut résoudre les problèmes sociaux. Le problème du marché, le problème de la réalisation du profit maximum, oblige la classe capitaliste à appliquer pleinement les lois du capitalisme.
Le capitalisme (dans sa phase finale impèrialiste) est dans une situation de surcapacité chronique depuis 1974 (conséquence ultime d'un monde complètement "divisé" en marchés, en contrôle des matières premières, en travailleurs peu coûteux, extra-exploitables, où le système de production augmente continuellement la productivité ...). Cela signifie pour les capitalistes, une concurrence accrue pour une "redistribution" de ces marchés, de ces matières premières et de la main-d'œuvre la moins chère ...
Toutes les acquis de la classe ouvrière par le biais de la lutte de classe et toujours conçues comme un achat (par la bourgeoisie) de la radicalisation de la lutte de classe ou un achat du développement révolutionnaire de la lutte de classe, sont ciblés. Je donne des arguments concrets pour cet analyse, utilisant l’example du secteur automibile en 25-03-2019 Marx sur les crises capitalistes: la surcapacité pour des MARCHANDISES à VENDRE ... alors que laproduction de PRODUITS n'était pas suffisante pour satisfaire lesBESOINS

Les restructurations doivent accroître la compétitivité, dans un monde en proie à une surcapacité, ce qui signifie que la “croissance” signifie la conquête de parts de marché à des concurrents (les derniers qui perdent donc des parts de marché). Cette restructuration implique parfois la reprise d'entreprises, suivie d'une "réorganisation" dans l'entreprise "composée".
Ces restructurations ont également été parfois imposées par les principaux actionnaires (par exemple les hedge funds) afin d'augmenter la valeur des actions ou de garantir un bénéfice rapide (à court terme, car à long terme la surcapacité menace à nouveau) , .... mais alors une nouvelle restructuration s'ensuivra ....) Que cela se passe dans TOUS les secteurs que j'ai déjà démontré (mais en néerlandais) pour une entreprise du secteur alimentaire, notamment DANONE en22-12-2012 De achtergronden van een aangekondigd besparingsplan, zoals ik dat zie....

GSK appartient au secteur pharmaceutique, un article suivant décrit les “méga-fusions” dans le contexte des restructurations ... et motivé non par la volonté de fournir des médicaments à l'humanité, mais par la soif de profit, l'augmentation de la compétitivité face à la concurrence, l'augmentation de la valeur des actions.

Relance des méga fusions dans la pharma – PharmAnalyses A propos de PharmAnalyses – Guide marketing communication santé 2019 – janvier 03 2019 – par Jean Jacques Cristofari
L’ année 2018 s’est achevée par la fusion des activités de médicaments sans ordonnances de GlaxoSmithKline (GSK) avec celles de l’américain Pfizer. 2019 commence par une méga fusion qui voit Bristol-Myers Squibb (BMS) acquérir Celgene pour 74 milliards de dollars (65,2 milliards d’euros). Les grandes manoeuvres de la pharma, un temps mises en sommeil, pourraient repartir de plus belle prochainement. L’un recentre et restructure son portefeuille d’activité. L’autre veut devenir un acteur majeur dans un secteur porteur. Tous deux illustrent les mouvements de restructuration auxquels nous avait habitué les Big Pharma dans la précédente décennie et qui s’étaient quelque peu ralenti dans l’actuelle.
Ainsi GSK, champion mondial du respiratoire, veut devenir un géant de l’automédication. Après avoir récupéré en mars 2018 les parts de Novartis dans leur entreprise commune pour 13 milliards de dollars (10,4 milliards d’euros), le laboratoire britannique annonce ce mardi la fusion de ses activités de produits OTC (automédication) et de parapharmacie avec celles de l’américain Pfizer. La coentreprise qui sera créée fera émerger un géant sur un secteur assez convoité, avec un chiffre de ventes de l’ordre de 12,7 milliards d’euros. Par cette opération, Pfizer transfèrera ses activités d’automédication dans la coentreprise créée par GSK et en échange recevra 32 % des parts de la joint-venture, dont les comptes resteront pour l’instant intégrés à ceux de GSK avant de devenir autonomes par une introduction en bourse de la nouvelle entité. Les actifs transférés par GSK comprennent les traitements anti-in ammatoires (Voltaren), l’antidouleur au paracétamol (Panadol) ou encore les dentifrices (Sensodyne). Du côté de Pfizer, l’automédication inclut l’antidouleur à base d’ibuprofène (Advil) ou les traitements aux vitamines (Centrum et Caltrate). Soit autant de belles pépites que les deux laboratoires ont décidé de mettre en commun.

«La nouvelle JV sera très bien positionnée pour délivrer de fortes ventes, du cash ow et une croissance des bénéfices, conduits par des marques leaders puissantes, une innovation basée sur la science et des synergies de coûts substantielles, avec l’intention future de créer une nouvelle compagnie engagée dans les vaccins et la pharmacie, le tout doté d’une approche R&D liée au système immunitaire, l’usage des génériques et des technologies avancées », a commenté en décembre dernier Emma Walmsley, CEO de GSK, pour qui cette opération marque bien la naissance d' “une nouvelle compagnie leader mondial dans le Consumer Healthcare”. Cette dernière a par ailleurs clairement a ché ses ambitions : des objectifs de marge bénéficiaire d’au moins 20% d’ici 2020 pour le pôle santé grand public, contre 17,7% en 2017.
« Nous avons également commencé à remodeler le portefeuille de notre groupe à travers une priorisation de nos programmes de R&D via des acquisitions telles celles proposées dans le domaine oncologique par la biotech Tesaro, une prise de participation minoritaire des activités grand public de Novartis en début d’année, et une série de désinvestissement de produits non essentiels, incluant les activités nutrition en Inde », a ajouté Emma Walmsley (Photo). GlaxoSmithKline a ainsi accepté de débourser 5,1 milliards de dollars (4,5 milliards d’euros) pour racheter la biotech américaine Tesaro, spécialisée dans l’oncologie. Une transaction, qui devrait être finalisée au premier trimestre 2019.

BMS investit dans l’oncologie
L’oncologie est également un secteur qui intéresse grandement BMS. Avec le rachat de Celgene en ce début d’année, les sociétés fusionnées produiront neuf produits pharmaceutiques dont les ventes annuelles s’élèveront à plus d’un milliard de dollars, a déclaré Bristol-Myers dans un communiqué. Les actionnaires de Bristol-Myers détiendront 69 % de la nouvelle entité combinée, tandis que ceux de Celgene en détiendront 31%. Les actionnaires de Celgene recevront une action de Bristol-Myers et 50 dollars en espèces pour chaque action, d’une valeur de 102,43 dollars par action, soit une prime de 53,7% par rapport au cours de clôture de Celgene mercredi.
L’objectif assigné par BMS est de créer une société bio pharmaceutique innovante de premier plan mondial, disposant de portefeuilles hautement complémentaires, « avec des franchises de premier plan en oncologie, immunologie et in ammation et maladies cardiovasculaires ». Dans la corbeille gure notamment le produit phare de Celgene, le Revlimid (un « bockbuster »
contre le myélome multiple, qui a généré 2,45 milliards de dollars de recettes au troisième trimestre). (...)

Une fusion sur fond de remise en cause des prix élevés
Par ailleurs, la société Celgene arrive en tête d’une liste établie par la Food and Drug Administration visant à montrer du doigt les entreprises pharmaceutiques qui tentent d’empêcher la concurrence de proposer des versions génériques de leurs médicaments. La société a également été critiquée pour avoir augmenté les prix de certains de ses médicaments.5

Dans le secteur farma ce n’est pas que seulement GSK qui “restructure”. Aussi les “concurrents” restructurent

18/11/10 Bayer lance un plan de restructuration,supprime 4.500 emplois
FRANCFORT (Dow Jones)--Bayer AG (BAYN.XE) a annoncé jeudi le lancement d'un plan de restructuration afin de compenser la baisse de ses revenus causée par l'arrivée de médicaments génériques sur ses marchés et par les réformes drastiques de l'assurance-maladie dans plusieurs pays.
Le conglomérat pharmaceutique et chimique allemand a affirmé qu'il réduirait ses coûts de 800 millions d'euros par an à partir de 2013 et supprimerait 4.500 emplois, tout en embauchant 2.500 personnes principalement pour de nouveaux emplois dans les marchés émergents.
Le groupe a cependant laissé inchangée sa prévision de résultats pour l'exercice 2010. Le mois dernier, Bayer avait affirmé viser une croissance ajustée de 5% de son chiffre d'affaires et un excédent brut d'exploitation supérieur à 7 milliards d'euros.
Bayer a précisé qu'il passerait une charge exceptionnelle d'environ 1 milliard d'euros d'ici à la fin 2012, dont 200 millions d'euros seront comptabilisés sur le quatrième trimestre 2010.
Sur les 800 millions d'économies de coûts envisagés, environ la moitié seront réinvestis, a souligné Bayer.
Le groupe dit vouloir se focaliser sur la recherche, le développement et la commercialisation de nouveaux produits, en particulier au sein de ses divisions de santé, HealthCare, et de protection des cultures, CropScience.
La décision de Bayer intervient peu après des actions similaires engagées par Roche Holding AG (ROG.VX) et Novartis AG (NVS). Les deux géants suisses de la pharmacie ont dévoilé mercredi de vastes programmes de réduction de leurs coûts.
Moody's Investors Service avait réaffirmé mercredi son opinion négative sur le secteur pharmaceutique en raison de l'expiration de brevets de certains médicaments vedettes et des réformes de l'assurance-maladie lancées dans plusieurs Etats pour réduire les déficits budgétaires. Autant d'éléments qui pèseront sur la rentabilité des grands laboratoires, selon Moody's. -Harriet Torry, Dow Jones Newswires6

Et chez GSK même il y avait déja des restructuration – aussi avec fermetures –, et ne pas seulement en Belgique, mais aussi en France, les Ëtats Unis, et en Afrique dans des diffèrents pays

Fermeture en vue pour le site d'Heppignies de GSK Beecham – Publié le 04 mars 2008
Le personnel du site d'Heppignies (Fleurus) de GlaxoSmithKline a tenu une assemblée générale d'information, mardi, après l'annonce par le direction, en conseil d'entreprise, de l'abandon de repreneurs potentiels pour ce site de la société, spécialisé dans la fabrication d'antibiotiques stériles à base de pénicilline. Il a été décidé en assemblée de n'entreprendre provisoirement aucune action, un prochain conseil d'entreprise devant se tenir dans quinze jours.
L'annonce en avait été faite la semaine dernière, quand il est apparu que les deux repreneurs potentiels qui s'étaient manifestés ne pouvaient être retenus, parce qu'ils ne donnaient pas de garantie suffisante à propos du maintien d'un nombre suffisant d'emplois sur le site fleurusien. Cette reprise aurait permis d'échapper à la fermeture pure et simple de ce site, considéré comme insuffisamment rentable par la direction de GSK.
290 emplois menacés
Le site de Fleurus, qui a occupé jusqu'à 500 personnes, a déjà fait l'objet de deux restructuration en quelques années et il occupe encore aujourd'hui 290 personnes, dont la plupart se situent dans ne tranche d'âge allant de 40 à 50 ans; une septantaine pourraient avoir accès à la prépension, sur base de l'application de la loi Renault.
Du côté des organisations syndicales, on privilégie cependant la piste du reclassement sur les autres sites de GSK, à Rixensart, Wavre et à Saint-Amand-les-Eaux, en France, piste qui a avait déjà fait l'objet de promesses de la direction, rappelle-t-on, quand l'annonce d'une possible fermeture avait été faite en octobre dernier.7


22/10/2008 | 14:46 LONDRES (Reuters) - Le groupe pharmaceutique britannique GlaxoSmithKline fait état d'un bénéfice trimestriel supérieur aux attentes des analystes, la faiblesse du sterling ayant atténué les effets de la concurrence des génériques sur le marché américain.
"Le ralentissement économique n'a pas d'impact perceptible sur la pharmacie", commente Andrew Witty, directeur général du groupe.
Il estime également que l'environnement est propice à des fusions-acquisitions dans le domaine des biotechnologies et via des scissions au sein de grands groupes.
Avant charges de restructuration, le bénéfice par action au troisième trimestre ressort en hausse de 6% à 25,2 pence, tandis que les ventes ont progressé de 7% à 5,88 milliards de livres. Les analystes interrogés par Reuters tablaient en moyenne sur un BPA à 24,3 pence.
Le médicament phare du groupe, l'Advair, qui traite l'asthme et les déficiences respiratoires chroniques, a montré une croissance raisonnable au troisième trimestre, en particulier grâce à une hausse des prix et à l'emploi de dosages plus élevés.
Ces résultats montrent que le secteur pharmaceutique résiste plutôt bien au ralentissement économique. Mardi, Pfizer et Schering-Plough, concurrents américains de GlaxoSmithKline, avaient eux aussi fait état de résultats satisfaisants.
Glaxo reste toutefois prudent sur ses prévisions pour l'ensemble de l'exercice et anticipe un déclin du BPA de l'ordre du milieu de la fourchette à un chiffre.
Andrew Witty, qui a pris ses fonction en mai, a entrepris de de diversifier les activités du groupe et de réduire les risques, en investissant dans des domaines non pharmaceutiques, tels que l'assurance santé ou la vente de produits plus anciens et moins chers sur les marchés émergents.
La semaine dernière, le groupe a conclu deux accords illustrant cette tendance. L'un portant sur l'achat du Biotene, un traitement contre la sécheresse buccale pour 170 millions de dollars, l'autre sur celui des activités de Bristol Myers Squibb en Egypte.8


GSK promet de la croissance en 2013 après le raté de 2012 PUBLIÉ LE 06/02/2013 À 15H24
LONDRES (Reuters) - GlaxoSmithKline a renouvelé mercredi sa promesse de renouer avec la croissance cette année, n'ayant pu répondre l'an dernier aux attentes de remontée du chiffre d'affaires et des marges.
GSK a également annoncé une restructuration des opérations européennes, de la production et de la recherche de médicaments, destinée à économiser au moins un milliard de livres (1,16 milliard d'euros) annuellement d' ici 2016, tout en plaçant ses marques Lucozade et Ribena sous examen stratégique.
"2013 devrait être la première d'une série d'années de croissance pour GSK", a annoncé Andrew Witty, directeur général du groupe pharmaceutique, prévoyant une hausse de 1% des ventes et une augmentation de 3 à 4% du bénéfice par action à change constant.
Confronté à une pression sur les prix plus importante que prévue en Europe en raison de l'austérité, le premier laboratoire pharmaceutique britannique n'a pas pu réaliser sa prévision de retour à la croissance en 2012, après avoir souffert de l'expiration de plusieurs brevets.
Pour permettre une reprise de ses ventes à moyen terme, GSK compte sur une série de nouveaux médicaments, dont six ont déjà été soumis à homologation, dans les domaines des maladies pulmonaires, des mélanomes, du diabète et du sida.
Le groupe attend également les résultats de la dernière phase des essais cliniques de deux autres produits, l'un destiné au traitement de maladies cardiaques, l'autre à soigner des cancers.
"La stagnation des ventes de l'an dernier rend d'autant plus important pour GSK le lancement d'éventuels nouveaux produits en 2013, alors que le groupe tente de renouer avec la croissance", juge Mick Cooper, analyste pour le cabinet Edison Investment Research.
Le chiffre d'affaires du dernier trimestre 2012 a diminué de 3% à 6,80 milliards de livres, et le bénéfice par action "core" est ressorti en hausse de 4% à 32,6 pence.9

28 mars 2014 Une majorité de syndicats du laboratoire GSK ont signé un accord sur le plan social annoncé en octobre, qui leur permet de "cogérer" le financement des mesures et fixe des "pénalités" si l'entreprise n'embauche pas comme prévu en parallèle, a-t-on appris vendredi auprès de la CFE-CGC.
La négociation a abouti cette semaine à un accord reconnu de part et d'autre comme "innovant" au regard des possibilités ouvertes par la loi sur la sécurisation de l'emploi.
Avalisé par quatre syndicats totalisant plus de 80% des voix aux élections (CFE-CGC, CFDT, Unsa et le Syndicat libre), le texte devait
être transmis vendredi à l'administration pour validation, a confirmé à l'AFP la filiale du groupe britannique GlaxoSmithKline.
Le plan de restructuration prévoit environ 250 suppressions de postes, au lieu des 271 initialement envisagées. Compte-tenu des postes actuellement vacants et des créations programmées, "un effectif potentiel de 102 collaborateurs sera amené à quitter l'entreprise", estime Jean-Yves Lecoq, secrétaire général de GSK.
Les suppressions toucheront surtout le personnel du siège à Marly-le-Roi (Yvelines) et les salariés de la force de vente.
En contrepartie des critères d'ordre de licenciement fixés par l'entreprise, les syndicats ont négocié une indemnité allant jusqu'à 25.000 euros par salarié licencié, en plus de celle légale.
Pour financer cette indemnité, les congés de reclassement et les départs volontaires en cessation anticipée d'activité, l'entreprise met sur la table 65 millions d'euros, selon la CFE-CGC. Cette enveloppe sera "cogérée" par les syndicats signataires et l'entreprise. Une commission veillera à son "utilisation complète" en réaffectant au besoin les sommes non utilisées aux mesures de reclassement, précise Guislain Lebrun, délégué central du premier syndicat de l'entreprise.10

Restructuration dans le secteur pharma: Novartis et GSK en vedette – 22 Avril 2014
Novartis et GlaxoSmithKline sont les entreprises phares du 22 avril 2014. En effet, ces deux mastodontes du secteur pharmaceutique ont décidé de procéder à un échange d'actif et de créer ensemble une coentreprise hygiène santé.
Novartis, société Helvétique, a décidé de restructurer ses activités pharmaceutiques en particulier sur les traitements innovants qui privilégient le renforcement du système immunitaire des patients.
Ainsi, Novartis tient à renforcer ses activités dans les traitements contre le cancer. En contrepartie, Novartis a décidé de vendre ses activités vaccins hors grippe pour 5.11 milliards d'euros. En revanche, GlaxoSmithKline, société Britannique, vend ses produits d'oncologie à Novartis pour un montant de 10.5 milliards d'euros. Par ailleurs, GSK va constituer avec Novartis une co-entreprise11

LONDRES, 1er décembre 2014 (APM) - GlaxoSmithKline (GSK) annoncera dans la semaine à ses salariés américains la suppression de centaines d'emplois sur son principal marché, dans le cadre d'un programme de réduction des coûts, a rapporté dimanche Reuters, citant des sources proches du dossier.
Le groupe britannique avait annoncé n octobre à l'occasion de la publication de ses résultats du troisième trimestre que ce nouveau plan de restructuration devait lui permettre d'économiser 1 milliard de livres (1,3 milliard d'euros) sur trois ans (cf dépêche du 22/10/2014 à 15:39).
Selon Reuters, les salariés des Etats-Unis, où GSK subit une baisse de ses ventes dans le domaine respiratoire, seront informés mercredi par la responsable des opérations pharmaceutiques en Amérique du Nord, Deirdre Connelly.
Contacté, un porte-parole de GSK n'a pas souhaité commenter ces informations mais a dit que le plan de restructuration visait à améliorer la performance du groupe en réduisant sa complexité et en créant une structure moins lourde et moins coûteuse.
Lors de l'annonce du plan, GSK avait expliqué que son objectif était de recentrer sa division Pharmaceuticals et sa base de coûts en perspective de la cession à Novartis de son oncologie.
Cette opération doit être bouclée au premier semestre 2015 et comprend également l'acquisition des vaccins du groupe suisse (hors grippe) et la création d'une joint-venture dans la santé grand public (cf dépêche du 22/04/2014 à 10:02).
Le groupe souhaite en parallèle faire face à la montée de la concurrence dans le domaine respiratoire sur son produit phare, le traitement de l'asthme et de la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) Advair* ( uticasone + salmétérol, Seretide* en Europe).
Advair* pâtit également aux Etats-Unis de l'offensive des assureurs en vue de faire baisser les prix des médicaments anciens, surtout dans les domaines du diabète et des maladies respiratoires où médecins et patients disposent de choix multiples.12

Le syndicat Unia s'attend à une restructuration chez GSK à Prangins - rts.ch - Economie – Modifié le 11 juin 2015 à 17:47
Le syndicat Unia s'attend à des suppressions de postes chez GlaxoSmithKline (GSK), ex-Novartis, à Nyon-Prangins (VD). La réorganisation concernerait les "cols blancs".
"Nous sommes convaincus qu'il y aura des licenciements, probablement selon notre estimation entre 10 et 30", a déclaré jeudi à l'ats Abdeslam Landry, secrétaire syndical chez Unia, confirmant des informations de La Côte et 24 heures.
Des employés inquiets ont fait appel au syndicat pour défendre leurs intérêts.
"Départs saucissonnés"
Les employés du secteur R&D, qui compte environ 150 personnes, ont été invités à postuler pour de nouveaux postes, alors qu'ils sont encore sous contrat, explique le secrétaire syndical. Ceux qui ne seront pas pris seront licenciés.
Aux yeux d'Unia, l'entreprise saucissonne les départs pour éviter la procédure de consultation, impérative pour un licenciement collectif.
GSK confirme qu'une réorganisation est en cours, mais assure toutefois que le nombre de collaborateurs restera stable. Actuellement, un millier de personnes travaillent sur le site vaudois ainsi que 400 temporaires.
Le site n'est pas en péril
Contrairement à 2011 où Novartis menaçait de fermer l'entreprise qui produit des médicaments sans ordonnance (OTC), le site n'est pas en péril, au contraire.
Nyon-Prangins deviendra d'ici 2020 un pôle "très important", un des quatre "hubs" de GSK Consumer Healthcare, a expliqué le directeur Urs Kientsch. Des investissements de l'ordre de 150 millions de francs sont prévus.
Novartis ne sera plus maître du site vaudois de Prangins Economie - 22 avril 201413

GSK Eliminates 650 U.S. Jobs in Restructuring – September 6, 20180 Source: ZargonDesign/iStock
GlaxoSmithKline (GSK) has disclosed it is eliminating 650 U.S. jobs as part of the restructuring it announced in July.
The job cuts consist of 450 “field” sales positions, and 200 back office/support positions—“about 100” each in Philadelphia and North Carolina’s Research Triangle Park (RTP), GSK said in a statement.
In the US, we are facing several external and internal drivers of change as we look at our pharma business over the next several years. Although we are growing, our aim is to deliver competitive growth and at the same time invest in our R&D ambition for the future,” GSK stated.
In some areas, we will be making reductions in positions, and in others, we will be changing the way we work,” the pharma giant added.
Despite the job reductions, GSK declared: “We remain committed to the U.S. and continue to see it as a positive environment for future investments as we develop and deliver our next generation of innovative oncology medicines and build capacity for our global vaccines business.”
GSK said it employs approximately 15,000 people in the U.S., where in addition to the commercial hubs at RTP and Philadelphia it operates nine manufacturing sites; a consumer healthcare site in Warren, NJ; and global R&D centers in Upper Providence, PA and Rockville, MD.
The U.S. job cuts come six weeks after GSK announced a “major” restructuring program along with its second-quarter results, saying at the time that the initiative “aims to significantly improve the competitiveness and efficiency of the group’s cost base with savings delivered primarily through supply chain optimization and reductions in administrative costs.”

Shifting Savings to R&D
GSK added that savings generated through the restructuring “will be used to help fund targeted increases in R&D spending as well as support new products.”
Under CEO Emma Walmsley, who succeeded Sir Andrew Witty as of March 31, 2017, GSK has overhauled its R&D over the past year. Last year, GSK terminated more than 30 clinical and preclinical programs deemed by the company as “unlikely to generate sufficient returns.”
GSK also named a new CSO and president, R&D, Hal Barron, M.D., who previously served as president of R&D at Calico (California Life Sciences), a Google-backed company launched in 2013.
In July, the company announced a revamped R&D strategy that Dr. Barron said would emphasize “science related to immune system, as well as the use of human genetics and functional genomics to identify promising targets, while exploring other technologies that we think will be very, very helpful for that approach, which includes machine learning and other advanced analytics.”
GSK said in July that it expected to incur charges of £0.8 billion ($1.035 billion) cash and £0.9 billion ($1.164 billion) non-cash over the next three years. The restructuring was expected to deliver annual cost savings of £400 million ($517.369 million) by 2021.14

17/1/2018 GSK devrait se séparer d'une partie non négligeable de son activité en Afrique dans le cadre de sa restructuration. (Crédits : © Toby Melville / Reuters)
L’Afrique devrait subir en grande partie, la restructuration en cours chez GlaxoSmithKline. Le groupe pharmaceutique a confirmé la restructuration de ses activités dans 29 marchés sub-sahariens et la destruction d’emplois. Seules les unités de production kényanes, nigérianes et sud-africaines devraient être épargnés, ainsi que les bureaux ivoiriens et ghanéens.
Le géant mondial pharmaceutique GlaxoSmithKline (GSK) vient d'annoncer la mise en place prochaine d'un plan social en Afrique, qui devrait comporter la suppression d'emplois et la restructuration de son activité dans plus de deux douzaines de pays à travers le continent. Cette décision s'inscrit dans le cadre de la stratégie de Emma Walmsley, la nouvelle directrice générale de GSK pour renforcer la compétitivité du fabricant britannique de médicaments.
Destruction d'emplois confirmée par le management
Cette restructuration devrait se traduire par l'arrêt des opérations marketing et de promotion en propre de GSK en direction des professionnels de la santé. Les distributeurs du groupe présents dans 29 marché subsahariens devront dorénavant supporter les coûts de ces actions. Le plan social préparé par les équipes londoniennes de GSK devrait également conduire à la destruction d'emplois, selon le management du groupe. Pour l'heure, l'entreprise refuse de dévoiler le nombre de licenciement prévus, tout en assurant être déterminée à maintenir sa collaboration avec ses partenaires industriels et les gouvernements pour « s'assurer que ses produits restent disponibles localement ».
En place depuis avril dernier, le nouveau management a annoncé son intention de démanteler ou de céder plus de 30 programmes de développement de médicaments et de se défaire de 130 marques ombrelles, dans le cadre de sa stratégie de réduction de coût ou encore de « rajeunir » son département R&D. Dans cette quête d'innovation, la nouvelle DG a commencé par réorganiser les échelons stratégiques du groupe, remplaçant au passage 50 de 125 cadres, de manière à « changer la culture maison et à stimuler l'innovation ». (….)
Cette restructuration décidée en 2017 devrait selon le nouveau management, permettre la mise en œuvre d'un nouveau modèle d'exploitation transposable dans les marchés émergents et susceptible de stimuler sa compétitivité.15

2019 GlaxoSmithKline: Hampton’s departure gives a sense of unfinished business
(...)
GlaxoSmithKline plc (GSK) announced in December 2018 the merger of its non-prescription drug and parapharmacy activities with those of the American giant Pfizer. The two labs are creating a GBP 10 billion joint venture, which will become the industry leader with GSK holding a majority of the shares – 68% and Pfizer a 32% holding. Within three years however, GSK plans to separate from this new entity and introduce it on the London Stock Exchange, placing Emma Walmsley as the CEO. There will therefore be a demerger project for GSK, aiming at separating their consumer health division (merged with Pfizer’s business) from their pharmaceutical and vaccines one. A lot of investors have been asking for this demerger over the past few years, however GSK is still in the middle of a transformation that is not quite complete.
The company intended, since 2015, to recover its Free Cash Flow (FCF) after the expenses arising from the costs of restructuration and integration of the Novartis deal. The company’s FCF is recovering quite well, with a GBP 5.7 billion in 2018 (+63% compared to 2017).(...)
All the reasons lead to thinking of the possibility of activities being overshadowed to keep investors from worrying.16

REUTERS: LE 06/02/19 À 13:46, MIS À JOUR LE 06/02/19 À 13:53 GLAXOSMITHKLINE – PHARMA-Les ventes du Shingrix gonflent le bénéfice de GSK au T46 février (Reuters) - GlaxoSmithKline (GSK) a publié mercredi un bénéfice ajusté au quatrième trimestre supérieur aux attentes, porté par les ventes de certains de ses nouveaux médicaments, dont son vaccin contre le zona, Shingrix.Le premier laboratoire britannique a cependant prévenu qu'il anticipait un recul de son bénéfice annuel pouvant atteindre 9% en raison des nouveaux concurrents de l'Advair, son traitement vedette de l'asthme, et de l'impact du rachat de la biotech américaine Tesaro pour 5,1 milliards de dollars.Le bénéfice par action ajusté au quatrième trimestre est ressorti à 31,2 pence (0,35 euro) pour un chiffre d'affaires de 8,20 milliards de livres. Onze analystes, selon un consensus fourni par le groupe, anticipaient un BPA de 27,7 pence et un chiffre d'affaires de 7,95 milliards de livres.17
REUTERS LE 01/05/19 À 13:17 MIS À JOUR LE 01/05/19 À 14:53GLAXOSMITHKLINEGSK dépasse les prévisions avec son vaccin contre le zona | Crédits photo : GlaxoSmithKline1er mai (Reuters) - GlaxoSmithKline a fait état mercredi d'une progression plus forte que prévu de ses ventes au premier trimestre, de 6%, avec la forte croissance du Shingrix, son vaccin contre le zona.Le chiffre d'affaires du laboratoire britannique s'est élevé à 7,66 milliards de livres (8,9 milliards d'euros) et son bénéfice d'exploitation s'est établi à 30,1 pence par action. Les analystes attendaient en moyenne un bénéfice par action de 26,1 pence sur un chiffre d'affaires de 7,56 milliards de livres, selon un consensus fourni par le groupe.18
REUTERS | LE 01/05/19 À 17:18 | MIS À JOUR LE 01/05/19 À 19:22 Hausse de 20% des ventes de la division vaccins. Les ventes du Shingrix devraient largement dépasser £1 md. Baisse de 15% des ventes d'Advair.GLAXOSMITHKLINEGSK porté par ses vaccins au T1 mais la chute du cash-flow pèse en Bourse | Crédits photo : GlaxoSmithKlinepar Ankur Banerjee et Pushkala Aripaka1er mai (Reuters) - GlaxoSmithKline baisse en Bourse mercredi, pénalisé par le recul de son flux de trésorerie disponible au premier trimestre, même s'il a fait état d'une progression plus forte que prévu de ses ventes, portées par son vaccin contre le zona.Le laboratoire britannique prévoit que les ventes de ce vaccin Shingrix, commercialisé depuis 2017, dépasseront "sensiblement" le milliard de livres sterling (1,16 milliard d'euros) cette année.Le vaccin Shingrix est une source importante de croissance pour la directrice générale Emma Walmsley, aux manettes depuis 2017, qui s'efforce d'améliorer les performances commerciales de GSK après avoir rationalisé ses activités et cédé certaines divisions."Shingrix a encore réalisé une performance fantastique au cours du trimestre", a-t-elle dit à la presse en conférence téléphonique. La solidité de sa division de vaccins, dont les ventes ont augmenté de 20% au premier trimestre, tombe bien alors que plusieurs des principaux médicaments de GSK sont concurrencés par des génériques.Le chiffre d'affaires du groupe a progressé de 6%, plus que prévu, au premier trimestre, à 7,66 milliards de livres (consensus fourni par la société 7,56 milliards). Le bénéfice d'exploitation ajusté est ressorti à 30,1 pence par action contre 26,1 pence attendus. L'ADVAIR CONCURRENCÉ PAR UN GÉNÉRIQUEMais GSK a annoncé une chute de 50% de ses flux de trésorerie disponibles à 165 millions de livres au cours du trimestre, en partie à cause de l'impact de la concurrence des génériques pour son traitement de l'asthme Advair, dont les ventes ont reculé de 15% à 486 millions de livres en raison de la concurrence d'une version générique.A la Bourse de Londres, le titre GSK perdait cependant 1% dans l'après-midi, l'une des fortes baisses de l'indice FTSE 100."GSK a de nouveau eu du mal à convertir ses bénéfices en liquidités", a commenté Nicholas Hyett, analyste chez Hargreaves Lansdown. "Les investisseurs devraient probablement accorder à GSK le bénéfice du doute, du moins pour le moment", a-t-il cependant ajouté.L'endettement net de GSK, qui a réaffirmé ses prévisions annuelles d'une baisse de 5% à 9% du bénéfice ajusté, a atteint 27,1 milliards de sterling à fin mars, contre 21,6 milliards fin 2018, le groupe ayant finalisé le rachat du spécialiste de l'oncologie Tesaro.Les ventes de Shingrix, ont atteint 357 millions de livres au cours du trimestre, en hausse de 61,5% par rapport au quatrième trimestre 2018, largement soutenues par les ventes aux Etats-Unis, au Canada et en Allemagne.Les analystes prévoyaient un chiffre d'affaires trimestriel de 249 millions pour le vaccin et des ventes de 1,17 milliard pour l'ensemble de l'année 2019.(Pushkala Aripaka, Noor Zainab Hussain et Ankur Banerjee à Bangalore, Dominique Rodriguez pour le service français)19
REUTERS, LE 20/06/19 À 10:16 MIS À JOUR LE 20/06/19 À 10:31 GLAXOSMITHKLINE - GSK fait des concessions à lUE pour son projet avec PfizerBRUXELLES, 20 juin (Reuters) - GlaxoSmithKline a proposé une série de concessions à l'Union européenne en vue d'apaiser ses inquiétudes en terme de concurrence dans le cadre du projet de coentreprise, annoncé en décembre, du laboratoire britannique avec son concurrent américain Pfizer dans la santé grand public.Selon un avis disponible sur le site de la Commission européenne, cette dernière se prononcera d'ici le 10 juillet sur le projet.En cas de feu vert, GlaxoSmithKline avait dit envisager de se scinder en deux activités - l'une pour les médicaments sur ordonnance et les vaccins, l'autre pour les produits en vente libre.Le rapprochement des activités de GSK et de Pfizer dans le domaine de la santé grand public créera un nouveau géant du secteur avec une part de marché de 7,3%, loin devant ses concurrents les plus proches, Johnson & Johnson, Bayer et Sanofi, tous autour de 4%.20

Sévère restructuration chez GSK Vaccines: voici le plan de l’entreprise pour l’avenir - Le Soir – Mis en ligne le 5/02/2020 à 14:29
Le groupe pharmaceutique a annoncé un plan de restructuration. Ce sont essentiellement des cadres qui devraient être touchés. Plus de 200 contrats temporaires ne devraient par ailleurs pas être renouvelés.
La mauvaise nouvelle est donc tombée : le groupe pharmaceutique GSK a annoncé un plan de restructuration qui pourrait entraîner la suppression de 720 emplois sur les 9.000 postes dans notre pays (prinicpalement sur les sites de Rixensart et Wavre). Ce plan a été présenté ce midi en conseil d’entreprise extraordinaire aux représentants des travailleurs.
Selon GSK, « plusieurs départements de l’organisation Vaccines en Belgique seraient concernés par ce projet de transformation, y compris les opérations de la R&D, de la fabrication et du service qualité, ainsi que les fonctions globales de support. Ce projet pourrait concerner un maximum de 720 employés chez GSK Vaccines en Belgique, dont majoritairement des cadres. En outre, 215 contrats temporaires ne devraient pas être renouvelés ». Selon les syndicats, il y aurait 280 postes perdus au niveau de la production, 130 dans la recherche et développement, 90 dans le département Qualité et 200 dans les départements supports.
Cette annonce s’inscrit dans le cadre d’un plan mondial visant à séparer GSK en deux entités, une concentrée sur la biopharmacie (médicaments et vaccins) et l’autre sur la santé grand public (médicaments sans ordonnances et produits de soins). Un programme de deux ans a été mis sur pied pour aboutir à cette séparation, qui « permettra à l’entreprise de gagner en efficacité », indique GSK dans un communiqué, rappelant que « la Belgique joue un rôle stratégique au sein du réseau mondial de la division vaccins de GSK ». Le groupe britannique annonce que GSK Vaccines « augmentera ses investissements en R&D pour accélérer le développement et la mise sur le marché de nouveaux vaccins. En outre, afin de répondre de façon optimale à la demande mondiale, la société prévoit de renforcer l’automatisation de ses unités de production pour augmenter la capacité et d’effectuer des investissements technologiques, avec l’intention d’investir plus de 500 millions euros au cours des trois prochaines années en Belgique ».
« Je comprends l’émotion que cette annonce peut susciter parmi nos collaborateurs qui font chaque jour d’énormes efforts pour assurer la disponibilité de nos vaccins auprès de ceux qui en ont besoin », a indiqué Patrick Florent, administrateur-délégué de GSK Vaccines en Belgique, cité dans le communiqué. « Il est important que nous entamions dès aujourd’hui des discussions avec nos partenaires sociaux par le biais du Conseil d’Entreprise afin d’examiner plus en détail l’impact potentiel de ce projet de transformation sur nos employés.
GSK prend ses responsabilités envers ses employés très au sérieux et veillera à ce que les changements proposés soient abordés de manière responsable, conformément aux valeurs de l’entreprise. Finalement, je souhaite reconfirmer l’engagement stratégique de GSK en Belgique, qui restera au coeur des opérations de vaccins ».21

Le Parti communiste de Belgique fait l'appel pour une lutte contre les effets liées au restructuration qui augmentent l'exploitation les forces de travails, et pour une lutte pour des objectifs qui expriment les intérêts des travailleurs

Dans un monde impérialiste/capitaliste de surcapacité, de concurrence féroce et d'exploitation croissante et ceci dans TOUS les secteurs, il n'y a qu'une seule alternative: l'expropriation de tous les capitalistes, la rupture des rapports de production capitalistes et le développement vers le communisme. Étant donné que les "moyens de production expropriés" (et tout ce qui touche à la production) sont toujours parfaitement adaptés à la production de marchandises en fonction de leur valeur d'échange, il y aura une "transition" qui alignera de plus en plus les produits et leur système de production sur la production en fonction. des besoins réels enregistrés, qui seront ensuite mis à la disposition de tous ceux qui, en fin de compte, "les auront déja payés" grâce à leur éventuelle contribution à la société. Pendant cette "transition", également appelée la première étape du communisme ou "économie socialiste planifiée", il y aura la "dictature du prolétariat" jusqu'à ce que les classes cessent d'exister.

- Le parti communiste de Belgique soutient la lutte pour la nationalisation du secteur pharmaceutique, en soulignant les conditions qui doivent être imposées par la lutte, afin qu'une telle nationalisation puisse être un objectif de lutte dans l'intérêt des travailleurs.
La nationalisation implique en fait l'expropriation, PRENNANT ainsi la "propriété" de tout le capital (tous les moyens de production et tout ce qui est lié à la production) dans ce secteur pharmaceutique. La gestion du secteur doit être placée sous le contrôle de travailleurs organisés dans la lutte, afin de pouvoir imposer une production adaptée aux besoins de traitement des maladies. La recherche sur le traitement des maladies n'a plus besoin d'être coordonnée pour arriver à un produit intéressant pour la compétitivité des entreprises, qui par sa vente capte une certaine part du marché et réalise le profit.
Le parti communiste de Belgique, cependant, déclare qu'une nationalisation sous le capitalisme et au sein d'un État bourgeois est toujours incomplète, sera temporairement et constamment limitée par le capitalisme et l'État bourgeois. C'est la rapport des forces et la combativité, du militantisme et la mobilisation de l'organisation de class des travailleurs qui détermineront dans quelle mesure cette nationalisation répond aux intérêts des travailleurs et dans quelle mesure les capitalistes, avec l'aide de l'Etat bourgeois, pourront affirmer encore toujours leurs intérêts.
Une telle lutte pour la nationalisation montre clairement aux travailleurs qu'il est en fin de compte dans l'intérêt objectif des travailleurs de lutter contre le capitalisme, de briser l'État bourgeois, d'établir le pouvoir des travailleurs afin d'établir le socialisme.

Bien qu'une lutte pour le maintien de tous les emplois SANS tenir compte "d'un besoin de augmenter la compétitivité" ou de certaines "directives européennes sur la régulation de la formation des monopoles", soit pleinement justifiée, il ne s'agit pas d'une lutte de seuls les travailleurs de GSK. Des restructurations similaires existent dans TOUS les secteurs et dans TOUTES les entreprises (qui sont parfois concurrentes entre eux), en raison de la concurrence féroce dans un monde régi par la surcapacité.
Mais il s'agit aussi de la lutte pour tout ce qui concerne "ces emplois" pour la préservation desquels on se bat.
C'est le même objectif d'augmentation de la compétitivité qui est à l'origine de cette restructuration chez GSK ainsi que d'une restructuration similaire dans d'autres entreprises, qui est à la base de TOUTES les économies, les assainissements et la démolition de la sécurité sociale depuis 1974.
La lutte pour la récupération de tous les économies, les diminuations des charges patronales, la diminuation de la contribution de l'état et les attaques correspondant de la sécurité sociale depuis 1974, fait donc partie de la lutte pour l'emploi. Et c'est la lutte de TOUS les travailleurs.

Les travailleurs de 1932 et 1936 n'ont pas non plus coordonné leurs objectifs de lutte avec ce que le patronat, les dirigeants syndicaux réformistes et l'État considéraient POSSIBLE, mais avec ce que les travailleurs considéraient comme NÉCESSAIRE. Lizes en 23-01-2020 Lutte contre cette DICTATE du capitalisme: "ACCEPTEZ l'augmentation du taux d'exploitation, pour améliorer la compétitivité de vos "propres"capitalistes!" Rejetez le réformisme qui lie les travailleurs à cette dictate!

1https://www.ptb.be/gsk_sur_10_ans_la_multinationale_a_b_n_fici_de_4_2_milliards_d_euros_de_d_duction_d_imp_ts, GSK : SUR 10 ANS, LA MULTINATIONALE A BÉNÉFICIÉ DE 4,2 MILLIARDS D’EUROS DE DÉDUCTION D’IMPÔTS – Rédaction en ligne - 7 février 2020
2 https://www.ptb.be/voici_les_chiffres_qui_montrent_qu_on_peut_augmenter_les_pensions, Le mythe de « l’impayable coût du vieillissement » prend l’eau : voici les chiffres qui montrent qu’on peut augmenter les pensions – Kim De Witte - 18 juillet 2019
3Travail parlementaire - Résultat de la recherche, “Transfert de technologie pharmaceutique vers l'étranger.”; Session : 2007-2008 – Année : 2007, N° : 3 (2007-2008). Question écrite du 15/11/2007 de PETITJEAN Charles à SIMONET Marie-Dominique, Ministre de la Recherche, des Technologies nouvelles et des Relations extérieures
4 Etudes marxistes 59/2002, “De la crise économique à la guerre mondiale” – Thomas Gounet
5 5-2-2020 – https://pharmanalyses.fr/relance-des-mega-fusions-dans-la-pharma/
Relance des méga fusions dans la pharma – PharmAnalyses A propos de PharmAnalyses – Guide marketing communication santé 2019 – janvier 03 2019 – par Jean Jacques Cristofari
6 https://investir.lesechos.fr/actions/actualites/bayer-lance-un-plan-de-restructuration-supprime-4-500-emplois-298077.php
5-2-2020 Bayer lance un plan de restructuration,supprime 4.500 emplois, Actualité des sociétés - Investir-Les Echos Bourse
DOW JONES | LE 18/11/10 À 21:17
7https://www.rtl.be/info/monde/economie/fermeture-en-vue-pour-le-site-d-heppignies-de-gsk-beecham-38359.aspx, Fermeture en vue pour le site d'Heppignies de GSK Beecham – Publié le 04 mars 2008 à 16h29 |
8https://www.zonebourse.com/GLAXOSMITHKLINE-PLC-ADR-12835/actualite/GLAXOSMITHKLINE-AD-La-faiblesse-de-la-livre-soutie...
GLAXOSMITHKLINE AD : La faiblesse de la livre soutient le bénéfice de GlaxoSmithKline
9 https://www.usinenouvelle.com/article/gsk-promet-de-la-croissance-en-2013-apres-le-rate-de-2012.N191098 GSK promet de la croissance en 2013 après le raté de 2012 PUBLIÉ LE 06/02/2013 À 15H24
10 5-2-2020 – https://www.lefigaro.fr/flash-eco/2014/03/28/97002-20140328FILWWW00279-plan-social-chez-le-laboratoire-gsk.php Plan social chez le laboratoire GSK – Par Lefigaro.fr avec AFP Publié le 28 mars 2014 à 17:34, mis à jour le 28 mars 2014 à 17:35
11 5-2-2020 – http://finance-eco.over-blog.com/2014/04/restructuration-dans-le-secteur-pharma-novartis-et-gsk-en-vedette.html
Restructuration dans le secteur pharma: Novartis et GSK en vedette - FINANCE-ECO by Olivier Clarenc
12 DÉPÊCHE - Lundi 01 décembre 2014 – 10:13 Contactez-nous GlaxoSmithKline sur le point de supprimer des centaines d'emplois aux USA
Mots-clés : #GSK #ressources humaines #restructuration #USA #prévisions-stratégie INDUSTRIES DE SANTE
13 5-2-2020 – https://www.rts.ch/info/economie/6859319-le-syndicat-unia-s-attend-a-une-restructuration-chez-gsk-a-prangins.html
Le syndicat Unia s'attend à une restructuration chez GSK à Prangins - rts.ch - Economie – Modifié le 11 juin 2015 à 17:47
14 https://www.genengnews.com/news/gsk-eliminates-650-u-s-jobs-in-restructuring/ GSK Eliminates 650 U.S. Jobs in Restructuring – September 6, 20180 Source: ZargonDesign/iStock
15 5-2-2020 – https://afrique.latribune.fr/entreprises/industrie/chimie-pharma/2018-01-17/pharmaceutique-l-afrique-epicentre-de-la-douloureu... Pharmaceutique : l’Afrique, épicentre de la douloureuse restructuration de GSK
16 2019 GlaxoSmithKline: Hampton’s departure gives a sense of unfinished business – CGLytics Home | Blog | GlaxoSmithKline: Hampton’s Departure Gives A Sense Of Unfinished Business
17 https://investir.lesechos.fr/actions/actualites/pharma-les-ventes-du-shingrix-gonflent-le-benefice-de-gsk-au-t4-1825317.phpLes ventes du Shingrix gonflent le bénéfice de GSK au T4
18 https://investir.lesechos.fr/actions/actualites/pharma-gsk-depasse-les-previsions-avec-son-vaccin-contre-le-zona-1845273.php
GSK dépasse les prévisions avec son vaccin contre le zona
19 https://investir.lesechos.fr/actions/actualites/gsk-porte-par-ses-vaccins-au-t1-mais-la-chute-du-cash-flow-pese-en-bourse-1845292.php
GSK porté par ses vaccins au T1 mais la chute du cash-flow pèse en Bourse
20 https://investir.lesechos.fr/actions/actualites/gsk-fait-des-concessions-a-l-ue-pour-son-projet-avec-pfizer-1856925.php
GSK fait des concessions à l'UE pour son projet avec Pfizer

21 5-2-2020 – https://www.lesoir.be/277806/article/2020-02-05/severe-restructuration-chez-gsk-vaccines-voici-le-plan-de-lentreprise-pour
Sévère restructuration chez GSK Vaccines: voici le plan de l’entreprise pour l’avenir - Le Soir – Mis en ligne le 5/02/2020 à 14:29