Qu'est-ce
que le PTB social-démocrate fixe comme objectifs de lutte et comment
le PTB propose d’en lutter?
Le service d'études du PTB a analysé la situation fiscale de la multinationale GSK en Belgique. “Au cours des 10 dernières années, GSK a pu déduire 4,2 milliards d’euros”, constate Germain Mugemangango, porte-parole francophone du PTB. “Cette multinationale a profité au maximum de deux niches fiscales. D’une part, la déduction pour revenu de brevets qui lui permet de déduire 2,6 milliards d’euros et d’autre part les intérêts notionnels qui lui permettent de déduire près de 1,6 milliards d’euros. Des montants pharamineux ! (…) GSK est une entreprise largement bénéficiaire qui profite largement des avantages fiscaux de ce pays mais qui n’hésite pas pour autant à détruire près d’un millier d’emplois. Les mécanismes fiscaux dont bénéficient ces multinationales ne garantissent donc rien du tout. "
Pour le PTB, ces mécanismes doivent disparaître. (...) "De plus, toute subvention ou facilité fiscale accordée aux entreprises doit être conditionnée de manière contraignante à des impératifs écologiques et sociaux comme le maintien d’emplois de qualité. Si des entreprises qui ont ainsi été soutenues par les fonds publics licencient, elles doivent rendre en tout ou en partie les cadeaux perçus. C’est ce qui doit se passer pour GSK si cette multinationale maintient son plan de licenciement.”1
En
fait, ces “subventions ou facilité
fiscale” ne sont donc pas un problème pour le PTB, tant
qu'ils sont “soumis à des impèratifs écologiques
et sociaux, telles que le maintien d'emplois de
qualité”. Cela signifie que la stratégie de renforcement de
la compétitivité (par l'État belge) ... et donc en fait le
capitalisme - s'il n'est que suffisamment "socialement"
ajusté - n'est PAS remis en question.
La
même acceptation des économies et asainissements
historiques depuis 1974 (mise en œuvre en Belgique
- comme PARTOUT - pour accroître sans cesse la competitivité des
"propres capitalistes" dans un monde de surcapacité
chronique), tant qu'ils sont "liés à des
conditions fortes pour la création des emplois
supplémentaires", ici chez Kim De
Witte:
Kim De Witte: "...nous devons également remettre en cause le poison qui ronge le système, à savoir la réduction constante des cotisations sociales des employeurs. Cela mine la sécurité sociale, et se matérialise à travers toutes sortes de paiements extra-légaux, d'exemptions et de subventions salariales.Cela coûte 16 milliards d'euros par an à la sécurité sociale, comme nous l'avons déjà mentionné. Il est temps de faire une évaluation sérieuse de cette politique et de lier ces pratiques à des conditions fortes pour la création d'emplois supplémentaires.”2
Vous
trouverez ICI des arguments plus concrets concernant les positions
que j'ai prises à ce sujet – qu’on pourrait appeler - "le
populisme opportuniste de gauche" du PTB
Bien
sûr, il y a les subventions qui sont accordées pour promouvoir la
compétitivité. Mais les "remettre enquestion", par une
"intervention de l'opposition", ce n’est seulement pour
rendre ce parti de l’opposotion plus populaire. (et pas seulement
le PTB est un tel parti d'opposition ...)
En
2008, ces subsides sont également été mis en question par une
parti de l‘opposition dans Parlement wallon, notamment par
Petitjean Charles du Front National:
“Les
médias audiovisuels et écrits ont largement commenté la décision
de Glaxo Smith Kline d'investir 300 millions d'euros pour construire
une nouvelle usine à Singapour.
Cette
nouvelle usine sera opérationnelle en 2011. Dans sa phase
industrielle, elle tournera avec six expatriés affectés à la
formation des équipes et au transfert technologique. D'ici 2011, GSK
aura engagé 200 personnes pour travailler sur le site biomédical de
Tuas.
Cela
relève da sa liberté de créer une nouvelle unité, mais nous
sursautons quand il est ajouté que cette usine fabriquera un nouveau
vaccin conçu chez G.S.K Biologicals à Wavre.
Alors
que GSK a largement profité de subsides R&D de la Région
wallonne, non seulement elle transfère le fruit de ses recherches de
chez nous vers l'étranger, mais encore elle annonce un vaste plan de
restructuration avec, notamment, la fermeture d'un de ses trois sites
à Heppignies et déjà le licenciement de 25 cadres commerciaux à
Genval.
Au-delà
de l'aspect innovant de la recherche, est-ce normal qu'après une
découverte nouvelle l'exploitation se fasse à l'étranger après
avoir accumulé lesaides de la Région wallonne ? Est-ce même
civique ?”
La
reponse de
SIMONET
Marie-Dominique (CdH),
Ministre
de la Recherche, des Technologies nouvelles et des Relations
extérieures
dans
le Gouvernement Wallon:
Quant
à l'emploi de GSK en Région wallonne, il fait l'objet d'une
augmentation importante au fil des années, et une augmentation est
encore prévue jusqu'en 2011, et ceci malgré la création d'une
unité de production à Singapour et la fermeture du site d'Heppignie
en 2010.
Comme
l'honorable Membre le voit, la présence de GSK en Région wallonne
est globalement extrêmement positive pour la Région, avec environ
6.000 emplois, dont 1.800 chercheurs, et des investissements se
chiffrant en centaines de millions d'euro.
GSK
bénéficie aussi, comme toute entreprise effectuant une recherche en
Belgique, d'une aide fédérale. Je vous suggère d'interroger ce
niveau de pouvoirpour en savoir plus.
Aucune
grande compagnie internationale ne peut échapper à la
mondialisation de l'économie. GSK a déjà des sites de production
dans le monde entier (USA, Inde, Allemagne, Canada, France, Chine et
demain Singapour). Dans un marché aussi compétitif que la
pharmacie, avec en particulier les différences de coût de main
d'œuvre et l'apparition de médicaments génériques, c'est devenu
une nécessité.
Les
aides wallonnes, fort limitées par rapport aux investissements de
GSK dans la région, contribuent à l'ancrage wallon de cette
société.
Au
delà de ces investissements, je vous rappelle que GSK biological, et
en particulier son Président Directeur-général Jean Stéphenne,
sont des éléments moteurs du pôle de compétitivité BIOWIN du
Plan Marshall.
En
résumé, tout en laissant à GSK le choix de sa stratégie de
développement, il est clair que son investissement en Région
wallonne, aussi bien en termes de R & D que d'emploi, est très
important pour la Région et est en croissance chaque année.3
Faire
un “objectif de lutte” proposé de la demande de rembourser les
subsides, signifie simplement que la réduction de l'emploi est
acceptée si les subsides sont remboursées. Ou cela signifie qu’on
veut l'utiliser comme un “argument de négociation» pour faire
“cher” le licenciement (‘imposer un “bon” plan social’)
Bien,
la restructuration actuelle de GSK n'est pas une opération
ponctuelle aujourd'hui. Ce n'est pas seulement le cas de GSK. Depuis
les années 1980, il y a eu une fléau CONTINUELLE des
restructuration, ... et chez TOUS les monopoles capitalistes et les
multinationales, ... et dans TOUS les pays. La raison: la crise de
surcapacité structurelle dans laquelle se trouve
l'impérialisme/capitalisme mondial depuis 1974
Le
responsable du Service d'Études du
PTB (… en 2002 en tout cas)
a fait l’analyse suivante À CET MOMENT en Études
Marxistes no 59, 2002:
D’un
côté, les capitalistes poussent à l’accroissement de la
production, en créant sans cesse de nouvelles capacités. De
l’autre, ils limitent la consommation des masses. Ce qui aggrave la
situation potentielle de surproduction. Sur cette base, le secteur
financier se développe d’une façon démesurée, qui ne correspond
plus à la réalité de la production.(…)
L’ampleur
de ces phénomènes nous amène à conclure qu’il n’y a plus que
deux grandes issues au capitalisme dans la situation présente : soit
le déclenchement d’une nouvelle guerre mondiale, provoquée par
l’exacerbation de toutes les contradictions du système, celle-ci
étant elle-même poussée par la crise économique actuelle ; soit
le renversement du capitalisme et son remplacement par un mode
supérieur, le socialisme.
De
toute façon, même la guerre mondiale, avec son cortège
d’abominations et de carnages, entraînera un rejet du capitalisme
par les populations. Elle accélérera le processus révolutionnaire
et, comme les deux précédentes (1914-1918 et 1939-1945), elle sera
le point de départ de soulèvements populaires, menant à la
destruction des Etats capitalistes et à la construction de leurs
pendants socialistes.(...)
La
crise économique actuelle a démarré en 1973, par une chute
importante de la production. Depuis lors, il y a une longue période
de stagnation économique caractérisée par les éléments suivants
: 1. une croissance fortement atténuée par rapport à celle des
années 50 et 60 ; 2. un développement saccadé avec,
périodiquement, des baisses de production (que l’on peut appeler
crises conjoncturelles) ; 3. un chômage et un sous-emploi chronique
; 4. des tensions monétaires et financières constantes. On
appellera cette période crise structurelle. Elle se prolonge, dure
des années. Pendant tout ce temps, la bourgeoisie ne parvient pas à
trouver des solutions adéquates pour en sortir.
Cette
situation n’est pas unique dans l’histoire. On la retrouve
d’abord entre 1873 et 1895. Fondamentalement, la bourgeoisie
européenne résout le problème posé en s’orientant vers la
colonisation, qui offre des débouchés, des marchés et des matières
premières aux impérialistes. Mais cela engendre une course aux
colonies, à l’origine de la Première Guerre mondiale. Ensuite,
une seconde crise structurelle apparaît dans les années 20 et 30.
Toutes les solutions employées par la bourgeoisie ne débouchent
alors qu’à une exacerbation des contradictions du système
capitaliste mondial. Le New Deal ne sort pas les Etats-Unis de la
crise. Le nazisme lance les impérialistes les uns contre les autres.
Il mène une grande offensive contre le socialisme.2 Ainsi,
la crise de 1929 aboutit à la Seconde Guerre mondiale. Aujourd’hui,
nous sommes confrontés à une nouvelle crise structurelle du même
type.(…)
Seul
le marxisme-léninisme peut offrir une explication valable de la
crise économique sous le capitalisme et en tirer les véritables
conséquences. Au centre de la récession se trouve l’exploitation
des travailleurs, qui sert à l’accumulation croissante de
richesses aux mains d’une poignée de capitalistes. C’est pour
cela que, d’une part, les entreprises développent toujours
davantage la production, créent de nouvelles unités pour accroître
leurs bénéfices, et que, d’autre part, les salariés, qui forment
la grande majorité de la population, voient leur pouvoir d’achat
sans cesse limité et contraint. Dès lors, le taux de profit
des firmes a tendance à baisser, parce qu’il faut toujours plus de
capital pour des gains plus restreints. La
concurrence entre firmes devient plus âpre. Chaque capitaliste veut
éliminer ses adversaires. C’est l’anarchie. Et il en résulte la
surproduction, fondement de la crise économique capitaliste.
Comme
l’écrit Marx : “La raison ultime de toute véritable crise
demeure toujours la pauvreté et la limitation de la consommation des
masses, en face de la tendance de la production capitaliste à
développer les forces productives comme si elles n’avaient pour
limite que la capacité de consommation absolue de la société.”
C’est le cœur du système
capitaliste, son fondement, son caractère d’exploitation toujours
reproduit et agrandi.
Avec
l’impérialisme, ère des monopoles, on se trouve à un stade
supérieur. La crise structurelle est la preuve que le capitalisme
s’embourbe dans ses antagonismes et qu’il ne peut en venir à
bout par les moyens traditionnels. C’est pour cela que les
bourgeois s’orientent vers la guerre mondiale. De ce fait, la crise
structurelle fait partie intégrante de la crise générale du
capitalisme, c’est-à-dire de la décomposition du système par ses
contradictions internes et par l’avènement d’un mode de
production supérieur, le socialisme. (…)
Lénine
a défini l’impérialisme comme étant l’ère des monopoles.
Aujourd’hui, la concentration a atteint un tel niveau qu’il ne
subsiste plus dans la plupart des secteurs qu’un nombre très
restreint de grandes entreprises à l’échelle mondiale. (….)
Ce
processus de concentration a, en fait, pris une extension
particulièrement rapide entre 1995 et 2000. Il y a eu, à ce moment,
une vague de fusions sans précédent dans l’histoire. Les montants
en jeu passent de 975 milliards de dollars en 1995 à environ 3.500
milliards en 2000. Ils retombent à près de la moitié en 2001 :
1.744 milliards. Une majorité des investissements capitalistes
durant cette période concernent des rachats de firmes. Ce
qui montre que le capitalisme crée de moins en moins de nouvelles
firmes réelles mais consacre ses dépenses à une lutte de pouvoir,
d’hégémonie, dans laquelle les travailleurs ne sont que des
soldats. Obligés d’œuvrer tant et plus dans les firmes pour
qu’elles soient de plus en plus compétitives, ceux-ci sont jetés
au chômage au moment des restructurations.(…)
La
concentration se traduit par la création accélérée de capacités
de production. Etant donné que le pouvoir d’achat de la population
n’augmente pas à la même vitesse, cela crée, en fait, des
surcapacités.4
Donc,
le capitalisme actuel: surcapacité quasi permanente et production
dans un chaos toujours croissant.
Le
capitalisme ne peut même pas faire semblant qu'il peut résoudre les
problèmes sociaux. Le problème du marché, le problème de la
réalisation du profit maximum, oblige la classe capitaliste à
appliquer pleinement les lois du capitalisme.
Le
capitalisme (dans sa phase finale impèrialiste) est dans une
situation de surcapacité chronique depuis 1974 (conséquence ultime
d'un monde complètement "divisé" en marchés, en contrôle
des matières premières, en travailleurs peu coûteux,
extra-exploitables, où le système de production augmente
continuellement la productivité ...). Cela signifie pour les
capitalistes, une concurrence accrue pour une "redistribution"
de ces marchés, de ces matières premières et de la main-d'œuvre
la moins chère ...
Toutes
les acquis de la classe ouvrière par le biais de la lutte de classe
et toujours conçues comme un achat (par la bourgeoisie) de la
radicalisation de la lutte de classe ou un achat du développement
révolutionnaire de la lutte de classe, sont ciblés. Je donne des
arguments concrets pour cet analyse, utilisant l’example du secteur
automibile en 25-03-2019 Marx sur les crises capitalistes: la surcapacité pour des MARCHANDISES à VENDRE ... alors que laproduction de PRODUITS n'était pas suffisante pour satisfaire lesBESOINS
Les
restructurations
doivent accroître la compétitivité, dans un monde en proie à une
surcapacité, ce qui signifie que la “croissance” signifie la
conquête de parts de marché à des concurrents (les derniers qui
perdent donc des parts de marché). Cette restructuration implique
parfois la reprise d'entreprises, suivie d'une "réorganisation"
dans l'entreprise "composée".
Ces
restructurations ont également été parfois imposées par les
principaux actionnaires (par exemple les hedge funds) afin
d'augmenter la valeur des actions ou de garantir un bénéfice rapide
(à court terme, car à long terme la surcapacité menace à nouveau)
, .... mais alors une nouvelle restructuration s'ensuivra ....) Que
cela se passe dans TOUS les secteurs que j'ai déjà démontré (mais
en néerlandais) pour une entreprise du secteur alimentaire,
notamment DANONE en22-12-2012 De achtergronden van een aangekondigd besparingsplan, zoals ik dat zie....
GSK
appartient au secteur pharmaceutique, un article suivant décrit les
“méga-fusions” dans le contexte des restructurations ... et
motivé non par la volonté de fournir des médicaments à
l'humanité, mais par la soif de profit, l'augmentation de la
compétitivité face à la concurrence, l'augmentation de la valeur
des actions.
Relance
des méga fusions dans la pharma – PharmAnalyses A propos de
PharmAnalyses – Guide marketing communication santé 2019 –
janvier 03 2019 – par Jean Jacques Cristofari
L’
année 2018 s’est achevée par la fusion des activités de
médicaments sans ordonnances de GlaxoSmithKline (GSK) avec celles de
l’américain Pfizer. 2019 commence par une méga fusion qui voit
Bristol-Myers Squibb (BMS) acquérir Celgene pour 74 milliards de
dollars (65,2 milliards d’euros). Les grandes manoeuvres de la
pharma, un temps mises en sommeil, pourraient repartir de plus belle
prochainement. L’un recentre et restructure son portefeuille
d’activité. L’autre veut devenir un acteur majeur dans un
secteur porteur. Tous deux illustrent les mouvements de
restructuration auxquels nous avait habitué les Big Pharma dans la
précédente décennie et qui s’étaient quelque peu ralenti dans
l’actuelle.
Ainsi
GSK, champion mondial du respiratoire, veut devenir un géant de
l’automédication. Après avoir récupéré en mars 2018 les parts
de Novartis dans leur entreprise commune pour 13 milliards de dollars
(10,4 milliards d’euros), le laboratoire britannique annonce ce
mardi la fusion de ses activités de produits OTC (automédication)
et de parapharmacie avec celles de l’américain Pfizer.
La coentreprise qui sera créée fera émerger un géant sur un
secteur assez convoité, avec un chiffre
de ventes de l’ordre de 12,7 milliards d’euros. Par cette
opération, Pfizer
transfèrera ses activités d’automédication dans la coentreprise
créée par GSK et en échange recevra 32 % des parts de la
joint-venture, dont les comptes resteront pour l’instant intégrés
à ceux de GSK avant de devenir autonomes par une introduction en
bourse de la nouvelle entité. Les actifs transférés par GSK
comprennent les traitements anti-in ammatoires (Voltaren),
l’antidouleur au paracétamol (Panadol) ou encore les dentifrices
(Sensodyne). Du côté de Pfizer, l’automédication inclut
l’antidouleur à base d’ibuprofène (Advil) ou les traitements
aux vitamines (Centrum et Caltrate). Soit autant de belles pépites
que les deux laboratoires ont décidé de mettre en commun.
«La
nouvelle JV sera très bien positionnée pour délivrer de fortes
ventes, du cash ow et une croissance des bénéfices,
conduits par des marques leaders puissantes, une innovation basée
sur la science et des
synergies de coûts substantielles,
avec l’intention future de créer une nouvelle compagnie engagée
dans les vaccins et la pharmacie, le tout doté d’une approche R&D
liée au système immunitaire, l’usage des génériques et des
technologies avancées », a commenté en décembre
dernier Emma Walmsley, CEO de GSK, pour qui cette opération marque
bien la naissance d' “une
nouvelle compagnie leader mondial dans le Consumer Healthcare”.
Cette dernière a par ailleurs clairement a ché ses ambitions : des
objectifs de marge bénéficiaire
d’au moins 20% d’ici 2020 pour le pôle santé grand public,
contre 17,7% en 2017.
«
Nous avons également commencé à remodeler le portefeuille de notre
groupe à travers une priorisation de nos programmes de R&D via
des acquisitions telles celles proposées dans le domaine oncologique
par la biotech Tesaro, une prise de participation minoritaire des
activités grand public de Novartis en début d’année, et une
série de désinvestissement de produits non essentiels, incluant les
activités nutrition en Inde », a ajouté Emma Walmsley (Photo).
GlaxoSmithKline a ainsi accepté de
débourser 5,1 milliards de dollars (4,5 milliards d’euros) pour
racheter la biotech américaine Tesaro, spécialisée dans
l’oncologie. Une transaction, qui devrait être finalisée
au premier trimestre 2019.
BMS
investit dans l’oncologie
L’oncologie
est également un secteur qui intéresse grandement BMS. Avec le
rachat de Celgene en ce début d’année, les
sociétés fusionnées produiront neuf produits pharmaceutiques dont
les ventes annuelles s’élèveront à plus d’un milliard de
dollars, a déclaré Bristol-Myers dans un communiqué. Les
actionnaires de Bristol-Myers détiendront 69 % de la nouvelle entité
combinée, tandis que ceux de Celgene en détiendront 31%. Les
actionnaires de Celgene recevront une action de Bristol-Myers et 50
dollars en espèces pour chaque action, d’une valeur de 102,43
dollars par action, soit une prime de 53,7% par rapport au cours de
clôture de Celgene mercredi.
L’objectif
assigné par BMS est de créer une
société bio pharmaceutique innovante de premier plan mondial,
disposant de portefeuilles hautement complémentaires, « avec des
franchises de premier plan en oncologie, immunologie et in ammation
et maladies cardiovasculaires ». Dans la corbeille gure notamment le
produit phare de Celgene, le Revlimid (un « bockbuster »
contre
le myélome multiple, qui a généré 2,45 milliards de dollars de
recettes au troisième trimestre). (...)
Une
fusion sur fond de remise en cause des prix élevés
Par
ailleurs, la société Celgene arrive en tête d’une liste établie
par la Food and Drug Administration visant
à montrer du doigt les entreprises pharmaceutiques qui tentent
d’empêcher la concurrence de proposer des versions génériques de
leurs médicaments. La société a également été critiquée pour
avoir augmenté les prix de certains de ses médicaments.5
Dans
le secteur farma ce n’est pas que seulement GSK qui “restructure”.
Aussi les “concurrents” restructurent
18/11/10
Bayer lance un plan de restructuration,supprime 4.500 emplois
FRANCFORT
(Dow Jones)--Bayer AG (BAYN.XE) a annoncé jeudi le lancement d'un
plan de restructuration afin de compenser la
baisse de ses revenus causée par l'arrivée de médicaments
génériques sur ses marchés et par les réformes drastiques de
l'assurance-maladie dans plusieurs pays.
Le
conglomérat pharmaceutique et chimique allemand a affirmé qu'il
réduirait ses coûts de 800 millions d'euros par an à partir de
2013 et supprimerait 4.500 emplois, tout en embauchant 2.500
personnes principalement pour de nouveaux emplois dans les marchés
émergents.
Le
groupe a cependant laissé inchangée sa prévision de résultats
pour l'exercice 2010. Le mois dernier, Bayer
avait affirmé viser une croissance ajustée de 5% de son chiffre
d'affaires et un excédent brut d'exploitation supérieur à 7
milliards d'euros.
Bayer
a précisé qu'il passerait une charge exceptionnelle d'environ 1
milliard d'euros d'ici à la fin 2012, dont 200 millions d'euros
seront comptabilisés sur le quatrième trimestre 2010.
Sur
les 800 millions d'économies de coûts envisagés, environ la moitié
seront réinvestis, a souligné Bayer.
Le
groupe dit vouloir se focaliser sur la recherche, le développement
et la commercialisation de nouveaux produits, en particulier au sein
de ses divisions de santé, HealthCare, et de protection des
cultures, CropScience.
La
décision de Bayer intervient peu après des actions similaires
engagées par Roche Holding AG (ROG.VX) et Novartis AG (NVS). Les
deux géants suisses de la pharmacie ont dévoilé mercredi de vastes
programmes de réduction de leurs coûts.
Moody's
Investors Service avait réaffirmé mercredi son opinion négative
sur le secteur pharmaceutique en raison de l'expiration de brevets de
certains médicaments vedettes et des réformes de
l'assurance-maladie lancées dans plusieurs Etats pour réduire les
déficits budgétaires. Autant d'éléments qui pèseront sur la
rentabilité des grands laboratoires, selon Moody's. -Harriet
Torry, Dow Jones Newswires6
Et
chez GSK même il y avait déja des restructuration – aussi avec
fermetures –, et ne pas seulement en Belgique, mais aussi en
France, les Ëtats Unis, et en Afrique dans des diffèrents pays
Fermeture
en vue pour le site d'Heppignies de GSK Beecham – Publié le 04
mars 2008
Le
personnel du site d'Heppignies (Fleurus) de GlaxoSmithKline a tenu
une assemblée générale d'information, mardi, après l'annonce par
le direction, en conseil d'entreprise, de
l'abandon de repreneurs potentiels pour ce site de la société,
spécialisé dans la fabrication d'antibiotiques stériles à base de
pénicilline. Il a été décidé en assemblée de
n'entreprendre provisoirement aucune action, un prochain conseil
d'entreprise devant se tenir dans quinze jours.
L'annonce
en avait été faite la semaine dernière, quand il est apparu que
les deux repreneurs potentiels qui
s'étaient manifestés ne pouvaient être retenus, parce qu'ils ne
donnaient pas de garantie suffisante à propos du maintien d'un
nombre suffisant d'emplois sur le site fleurusien. Cette reprise
aurait permis d'échapper à la fermeture pure et simple de ce site,
considéré comme insuffisamment rentable par la direction de GSK.
290
emplois menacés
Le
site de Fleurus, qui a occupé jusqu'à 500 personnes, a déjà fait
l'objet de deux restructuration en quelques années et il occupe
encore aujourd'hui 290 personnes, dont la plupart se situent dans ne
tranche d'âge allant de 40 à 50 ans; une septantaine pourraient
avoir accès à la prépension, sur base de l'application de la loi
Renault.
Du
côté des organisations syndicales, on privilégie cependant la
piste du reclassement
sur les autres sites de GSK, à Rixensart, Wavre et à
Saint-Amand-les-Eaux, en France,
piste qui a avait déjà fait l'objet de promesses de la direction,
rappelle-t-on, quand l'annonce d'une possible fermeture avait été
faite en octobre dernier.7
22/10/2008
| 14:46 LONDRES (Reuters) - Le groupe pharmaceutique britannique
GlaxoSmithKline fait état d'un bénéfice trimestriel supérieur aux
attentes des analystes, la faiblesse du sterling ayant atténué les
effets de la concurrence des génériques sur le marché américain.
"Le
ralentissement économique n'a pas d'impact perceptible sur la
pharmacie", commente Andrew Witty, directeur général du
groupe.
Il
estime également que l'environnement
est propice à des fusions-acquisitions dans le domaine des
biotechnologies et via des scissions au sein de grands groupes.
Avant
charges de restructuration, le bénéfice par action au troisième
trimestre ressort en hausse de 6% à 25,2 pence, tandis que les
ventes ont progressé de 7% à 5,88 milliards de livres. Les
analystes interrogés par Reuters tablaient en moyenne sur un BPA à
24,3 pence.
Le
médicament phare du groupe, l'Advair, qui traite l'asthme et les
déficiences respiratoires chroniques, a montré une croissance
raisonnable au troisième trimestre, en particulier grâce à une
hausse des prix et à l'emploi de dosages plus élevés.
Ces
résultats montrent que le secteur pharmaceutique résiste plutôt
bien au ralentissement économique. Mardi, Pfizer et Schering-Plough,
concurrents américains de GlaxoSmithKline, avaient eux aussi fait
état de résultats satisfaisants.
Glaxo
reste toutefois prudent sur ses prévisions pour l'ensemble de
l'exercice et anticipe un déclin du BPA de l'ordre du milieu de la
fourchette à un chiffre.
Andrew
Witty, qui a pris ses fonction en mai, a entrepris de de diversifier
les activités du groupe et de réduire les risques, en investissant
dans des domaines non pharmaceutiques, tels que l'assurance santé ou
la vente de produits plus anciens et moins chers sur les marchés
émergents.
La
semaine dernière, le groupe a conclu deux accords illustrant cette
tendance. L'un portant sur l'achat du Biotene, un traitement contre
la sécheresse buccale pour 170 millions de dollars, l'autre sur
celui des activités de Bristol Myers Squibb en Egypte.8
GSK
promet de la croissance en 2013 après le raté de 2012 PUBLIÉ LE
06/02/2013 À 15H24
LONDRES
(Reuters) - GlaxoSmithKline a renouvelé mercredi sa promesse de
renouer avec la croissance cette année, n'ayant pu répondre l'an
dernier aux attentes de remontée du chiffre d'affaires et des
marges.
GSK
a également annoncé une restructuration des opérations
européennes, de la production et de la recherche de médicaments,
destinée à économiser au moins un milliard de livres (1,16
milliard d'euros) annuellement d' ici 2016, tout en plaçant ses
marques Lucozade et Ribena sous examen stratégique.
"2013
devrait être la première d'une série d'années de croissance pour
GSK", a annoncé Andrew Witty, directeur général du groupe
pharmaceutique, prévoyant une hausse de 1% des ventes et une
augmentation de 3 à 4% du bénéfice par action à change constant.
Confronté
à une pression sur les prix plus importante que prévue en Europe en
raison de l'austérité, le premier laboratoire pharmaceutique
britannique n'a pas pu réaliser sa prévision de retour à la
croissance en 2012, après avoir souffert de l'expiration de
plusieurs brevets.
Pour
permettre une reprise de ses ventes à moyen terme, GSK compte sur
une série de nouveaux médicaments, dont six ont déjà été soumis
à homologation, dans les domaines des maladies pulmonaires, des
mélanomes, du diabète et du sida.
Le
groupe attend également les résultats de la dernière phase des
essais cliniques de deux autres produits, l'un destiné au traitement
de maladies cardiaques, l'autre à soigner des cancers.
"La
stagnation des ventes de l'an dernier rend d'autant plus important
pour GSK le lancement d'éventuels nouveaux produits en 2013, alors
que le groupe tente de renouer avec la croissance", juge Mick
Cooper, analyste pour le cabinet Edison Investment Research.
Le
chiffre d'affaires du dernier trimestre 2012 a diminué de 3% à 6,80
milliards de livres, et le bénéfice par action "core" est
ressorti en hausse de 4% à 32,6 pence.9
28
mars 2014 Une majorité de syndicats du laboratoire GSK ont signé un
accord sur le plan social annoncé en octobre, qui leur permet de
"cogérer" le financement des mesures et fixe des
"pénalités" si l'entreprise n'embauche pas comme prévu
en parallèle, a-t-on appris vendredi auprès de la CFE-CGC.
La
négociation a abouti cette semaine à un accord reconnu de part et
d'autre comme "innovant" au regard des possibilités
ouvertes par la loi sur la sécurisation de l'emploi.
Avalisé
par quatre syndicats totalisant plus de 80% des voix aux élections
(CFE-CGC, CFDT, Unsa et le Syndicat libre), le texte devait
être
transmis vendredi à l'administration pour validation, a confirmé à
l'AFP la filiale du groupe britannique GlaxoSmithKline.
Le
plan de restructuration prévoit environ 250 suppressions de postes,
au lieu des 271 initialement envisagées. Compte-tenu des postes
actuellement vacants et des créations programmées, "un
effectif potentiel de 102 collaborateurs sera amené à quitter
l'entreprise", estime Jean-Yves Lecoq, secrétaire
général de GSK.
Les
suppressions toucheront surtout le personnel du siège à
Marly-le-Roi (Yvelines) et les salariés de la force de vente.
En
contrepartie des critères d'ordre de licenciement fixés par
l'entreprise, les syndicats ont négocié une indemnité allant
jusqu'à 25.000 euros par salarié licencié, en plus de celle
légale.
Pour
financer cette indemnité, les congés de reclassement et les départs
volontaires en cessation anticipée d'activité, l'entreprise met sur
la table 65 millions d'euros, selon la CFE-CGC. Cette enveloppe sera
"cogérée" par les syndicats signataires et l'entreprise.
Une commission veillera à son "utilisation complète" en
réaffectant au besoin les sommes non utilisées aux mesures de
reclassement, précise Guislain Lebrun, délégué central du premier
syndicat de l'entreprise.10
Restructuration
dans le secteur pharma: Novartis et GSK en vedette – 22 Avril 2014
Novartis
et GlaxoSmithKline sont les entreprises phares du 22 avril 2014. En
effet, ces deux mastodontes du secteur pharmaceutique ont décidé de
procéder à un échange d'actif et de créer ensemble une
coentreprise hygiène santé.
Novartis,
société Helvétique, a décidé de restructurer ses activités
pharmaceutiques en particulier sur les traitements innovants qui
privilégient le renforcement du système immunitaire des patients.
Ainsi,
Novartis tient à renforcer ses activités dans les traitements
contre le cancer. En contrepartie, Novartis a décidé de vendre ses
activités vaccins hors grippe pour 5.11 milliards d'euros. En
revanche, GlaxoSmithKline, société Britannique, vend ses produits
d'oncologie à Novartis pour un montant de 10.5 milliards d'euros.
Par ailleurs, GSK va constituer avec Novartis une co-entreprise11
LONDRES,
1er décembre 2014 (APM) - GlaxoSmithKline (GSK) annoncera dans la
semaine à ses salariés américains la suppression de centaines
d'emplois sur son principal marché, dans le cadre d'un programme de
réduction des coûts, a rapporté dimanche Reuters, citant des
sources proches du dossier.
Le
groupe britannique avait annoncé n octobre à l'occasion de la
publication de ses résultats du troisième trimestre que ce
nouveau plan de restructuration devait lui permettre d'économiser 1
milliard de livres (1,3 milliard d'euros) sur trois ans (cf dépêche
du 22/10/2014 à 15:39).
Selon
Reuters, les salariés des
Etats-Unis, où GSK subit une baisse de ses ventes dans le domaine
respiratoire, seront informés mercredi par la responsable des
opérations pharmaceutiques en Amérique du Nord, Deirdre Connelly.
Contacté,
un porte-parole de GSK n'a pas souhaité commenter ces informations
mais a dit que le plan de restructuration visait à améliorer la
performance du groupe en réduisant sa complexité et en créant une
structure moins lourde et moins coûteuse.
Lors
de l'annonce du plan, GSK avait expliqué que son objectif était de
recentrer sa division Pharmaceuticals et sa base de coûts en
perspective de la cession à Novartis de son oncologie.
Cette
opération doit être bouclée au premier semestre 2015 et comprend
également l'acquisition des vaccins du groupe suisse (hors grippe)
et la création d'une joint-venture dans la santé grand public (cf
dépêche du 22/04/2014 à 10:02).
Le
groupe souhaite en parallèle faire face à la montée de la
concurrence dans le domaine respiratoire sur son produit phare, le
traitement de l'asthme et de la bronchopneumopathie chronique
obstructive (BPCO) Advair* ( uticasone + salmétérol, Seretide* en
Europe).
Advair*
pâtit également aux Etats-Unis de l'offensive des assureurs en vue
de faire baisser les prix des médicaments anciens, surtout dans les
domaines du diabète et des maladies respiratoires où médecins et
patients disposent de choix multiples.12
Le
syndicat Unia s'attend à une restructuration chez GSK à Prangins -
rts.ch - Economie – Modifié le 11 juin 2015 à 17:47
Le
syndicat Unia s'attend à des suppressions de postes chez
GlaxoSmithKline (GSK), ex-Novartis, à Nyon-Prangins (VD). La
réorganisation concernerait les "cols blancs".
"Nous
sommes convaincus qu'il y aura des licenciements, probablement selon
notre estimation entre 10 et 30", a déclaré jeudi à l'ats
Abdeslam Landry, secrétaire syndical chez Unia, confirmant des
informations de La Côte et 24 heures.
Des
employés inquiets ont fait appel au syndicat pour défendre leurs
intérêts.
"Départs
saucissonnés"
Les
employés du secteur R&D, qui compte environ 150 personnes, ont
été invités à postuler pour de nouveaux postes, alors qu'ils sont
encore sous contrat, explique le secrétaire syndical. Ceux qui ne
seront pas pris seront licenciés.
Aux
yeux d'Unia, l'entreprise saucissonne les départs pour éviter la
procédure de consultation, impérative pour un licenciement
collectif.
GSK
confirme qu'une réorganisation est en cours, mais assure toutefois
que le nombre de collaborateurs restera stable. Actuellement, un
millier de personnes travaillent sur le site vaudois ainsi que 400
temporaires.
Le
site n'est pas en péril
Contrairement
à 2011 où Novartis menaçait de fermer l'entreprise qui produit des
médicaments sans ordonnance (OTC), le site n'est pas en péril, au
contraire.
Nyon-Prangins
deviendra d'ici 2020 un pôle "très important", un des
quatre "hubs" de GSK Consumer Healthcare, a expliqué le
directeur Urs Kientsch. Des investissements de l'ordre de 150
millions de francs sont prévus.
Novartis
ne sera plus maître du site vaudois de Prangins Economie - 22 avril
201413
GSK
Eliminates 650 U.S. Jobs in Restructuring – September 6, 20180
Source: ZargonDesign/iStock
GlaxoSmithKline
(GSK) has disclosed it is eliminating 650 U.S. jobs as part of the
restructuring it announced in July.
The
job cuts consist of 450 “field” sales positions, and 200 back
office/support positions—“about 100” each in Philadelphia and
North Carolina’s Research Triangle Park (RTP), GSK said in a
statement.
“In
the US, we are facing several external and internal drivers of change
as we look at our pharma business over the next several years.
Although we are growing, our aim is to deliver competitive growth and
at the same time invest in our R&D ambition for the future,”
GSK stated.
“In
some areas, we will be making reductions in positions, and in others,
we will be changing the way we work,” the pharma giant added.
Despite
the job reductions, GSK declared: “We remain committed to the U.S.
and continue to see it as a positive environment for future
investments as we develop and deliver our next generation of
innovative oncology medicines and build capacity for our global
vaccines business.”
GSK
said it employs approximately 15,000 people in the U.S., where in
addition to the commercial hubs at RTP and Philadelphia it operates
nine manufacturing sites; a consumer healthcare site in Warren, NJ;
and global R&D centers in Upper Providence, PA and Rockville, MD.
The
U.S. job cuts come six weeks after GSK announced a “major”
restructuring program along with its second-quarter results, saying
at the time that the initiative “aims to significantly improve the
competitiveness and efficiency of the group’s cost base with
savings delivered primarily through supply chain optimization and
reductions in administrative costs.”
Shifting
Savings to R&D
GSK
added that savings generated through the restructuring “will be
used to help fund targeted
increases in R&D spending as well as support new products.”
Under
CEO Emma Walmsley, who succeeded Sir Andrew Witty as of March 31,
2017, GSK has overhauled its R&D over the past year. Last year,
GSK terminated more than 30 clinical and preclinical programs deemed
by the company as “unlikely to generate sufficient returns.”
GSK
also named a new CSO and president, R&D, Hal Barron, M.D., who
previously served as president of R&D at Calico (California Life
Sciences), a Google-backed company launched in 2013.
In
July, the company announced a revamped R&D strategy that Dr.
Barron said would emphasize “science related to immune system, as
well as the use of human genetics and functional genomics to identify
promising targets, while exploring other technologies that we think
will be very, very helpful for that approach, which includes machine
learning and other advanced analytics.”
GSK
said in July that it expected to incur charges of £0.8 billion
($1.035 billion) cash and £0.9 billion ($1.164 billion) non-cash
over the next three years. The restructuring was expected to deliver
annual cost savings of £400 million ($517.369 million) by 2021.14
17/1/2018
GSK devrait se
séparer d'une partie non négligeable de son activité en Afrique
dans le cadre de sa restructuration. (Crédits : © Toby
Melville / Reuters)
L’Afrique
devrait subir en grande partie, la restructuration en cours chez
GlaxoSmithKline. Le groupe pharmaceutique a confirmé la
restructuration de ses activités dans 29 marchés sub-sahariens et
la destruction d’emplois. Seules les unités de production
kényanes, nigérianes et sud-africaines devraient être épargnés,
ainsi que les bureaux ivoiriens et ghanéens.
Le
géant mondial pharmaceutique GlaxoSmithKline (GSK) vient d'annoncer
la mise en place prochaine d'un plan social en Afrique, qui devrait
comporter la suppression d'emplois et la restructuration de son
activité dans plus de deux douzaines de pays à travers le
continent. Cette décision
s'inscrit dans le cadre de la stratégie de Emma Walmsley, la
nouvelle directrice générale de GSK pour renforcer
la compétitivité du fabricant britannique de médicaments.
Destruction
d'emplois confirmée par le management
Cette
restructuration devrait se traduire par l'arrêt des opérations
marketing et de promotion en propre de GSK en direction des
professionnels de la santé. Les distributeurs du groupe présents
dans 29 marché subsahariens devront dorénavant supporter les coûts
de ces actions. Le plan social préparé par les équipes
londoniennes de GSK devrait également conduire à la destruction
d'emplois, selon le management du groupe. Pour l'heure, l'entreprise
refuse de dévoiler le nombre de licenciement prévus, tout en
assurant être déterminée à maintenir sa collaboration avec ses
partenaires industriels et les gouvernements pour « s'assurer que
ses produits restent disponibles localement ».
En
place depuis avril dernier, le nouveau management a annoncé son
intention de démanteler ou de céder plus de 30 programmes de
développement de médicaments et de se défaire de 130 marques
ombrelles, dans le cadre de
sa stratégie de réduction de coût
ou encore de « rajeunir » son département R&D. Dans cette
quête d'innovation, la nouvelle DG a commencé par réorganiser les
échelons stratégiques du groupe, remplaçant au passage 50 de 125
cadres, de manière à « changer la culture maison et à stimuler
l'innovation ». (….)
Cette
restructuration décidée en 2017 devrait selon le nouveau
management, permettre la mise en œuvre d'un nouveau modèle
d'exploitation transposable dans les marchés émergents et
susceptible de stimuler sa compétitivité.15
2019
GlaxoSmithKline: Hampton’s departure gives a sense of unfinished
business
(...)
GlaxoSmithKline
plc (GSK) announced in December
2018 the merger of its non-prescription drug and parapharmacy
activities with those of the American giant Pfizer.
The two labs are creating a GBP 10 billion joint venture, which will
become the industry leader with GSK holding a majority of the shares
– 68% and Pfizer
a 32% holding. Within three years however, GSK plans to separate from
this new entity and introduce it on the London Stock Exchange,
placing Emma Walmsley as the CEO. There will therefore be a demerger
project for GSK, aiming at separating their consumer health division
(merged with Pfizer’s
business) from their pharmaceutical and vaccines one. A lot of
investors have been asking for this demerger over the past few years,
however GSK is still in the middle of a transformation that is not
quite complete.
The
company intended, since 2015, to recover its Free Cash Flow (FCF)
after the expenses arising from the costs of restructuration and
integration of the Novartis deal. The company’s FCF is recovering
quite well, with a GBP 5.7 billion in 2018 (+63% compared to
2017).(...)
All
the reasons lead to thinking of the possibility of activities being
overshadowed to keep investors from worrying.16
REUTERS: LE 06/02/19 À 13:46, MIS À JOUR LE 06/02/19 À 13:53 GLAXOSMITHKLINE – PHARMA-Les ventes du Shingrix gonflent le bénéfice de GSK au T46 février (Reuters) - GlaxoSmithKline (GSK) a publié mercredi un bénéfice ajusté au quatrième trimestre supérieur aux attentes, porté par les ventes de certains de ses nouveaux médicaments, dont son vaccin contre le zona, Shingrix.Le premier laboratoire britannique a cependant prévenu qu'il anticipait un recul de son bénéfice annuel pouvant atteindre 9% en raison des nouveaux concurrents de l'Advair, son traitement vedette de l'asthme, et de l'impact du rachat de la biotech américaine Tesaro pour 5,1 milliards de dollars.Le bénéfice par action ajusté au quatrième trimestre est ressorti à 31,2 pence (0,35 euro) pour un chiffre d'affaires de 8,20 milliards de livres. Onze analystes, selon un consensus fourni par le groupe, anticipaient un BPA de 27,7 pence et un chiffre d'affaires de 7,95 milliards de livres.17
REUTERS LE 01/05/19 À 13:17 MIS À JOUR LE 01/05/19 À 14:53GLAXOSMITHKLINEGSK dépasse les prévisions avec son vaccin contre le zona | Crédits photo : GlaxoSmithKline1er mai (Reuters) - GlaxoSmithKline a fait état mercredi d'une progression plus forte que prévu de ses ventes au premier trimestre, de 6%, avec la forte croissance du Shingrix, son vaccin contre le zona.Le chiffre d'affaires du laboratoire britannique s'est élevé à 7,66 milliards de livres (8,9 milliards d'euros) et son bénéfice d'exploitation s'est établi à 30,1 pence par action. Les analystes attendaient en moyenne un bénéfice par action de 26,1 pence sur un chiffre d'affaires de 7,56 milliards de livres, selon un consensus fourni par le groupe.18
REUTERS | LE 01/05/19 À 17:18 | MIS À JOUR LE 01/05/19 À 19:22 Hausse de 20% des ventes de la division vaccins. Les ventes du Shingrix devraient largement dépasser £1 md. Baisse de 15% des ventes d'Advair.GLAXOSMITHKLINEGSK porté par ses vaccins au T1 mais la chute du cash-flow pèse en Bourse | Crédits photo : GlaxoSmithKlinepar Ankur Banerjee et Pushkala Aripaka1er mai (Reuters) - GlaxoSmithKline baisse en Bourse mercredi, pénalisé par le recul de son flux de trésorerie disponible au premier trimestre, même s'il a fait état d'une progression plus forte que prévu de ses ventes, portées par son vaccin contre le zona.Le laboratoire britannique prévoit que les ventes de ce vaccin Shingrix, commercialisé depuis 2017, dépasseront "sensiblement" le milliard de livres sterling (1,16 milliard d'euros) cette année.Le vaccin Shingrix est une source importante de croissance pour la directrice générale Emma Walmsley, aux manettes depuis 2017, qui s'efforce d'améliorer les performances commerciales de GSK après avoir rationalisé ses activités et cédé certaines divisions."Shingrix a encore réalisé une performance fantastique au cours du trimestre", a-t-elle dit à la presse en conférence téléphonique. La solidité de sa division de vaccins, dont les ventes ont augmenté de 20% au premier trimestre, tombe bien alors que plusieurs des principaux médicaments de GSK sont concurrencés par des génériques.Le chiffre d'affaires du groupe a progressé de 6%, plus que prévu, au premier trimestre, à 7,66 milliards de livres (consensus fourni par la société 7,56 milliards). Le bénéfice d'exploitation ajusté est ressorti à 30,1 pence par action contre 26,1 pence attendus. L'ADVAIR CONCURRENCÉ PAR UN GÉNÉRIQUEMais GSK a annoncé une chute de 50% de ses flux de trésorerie disponibles à 165 millions de livres au cours du trimestre, en partie à cause de l'impact de la concurrence des génériques pour son traitement de l'asthme Advair, dont les ventes ont reculé de 15% à 486 millions de livres en raison de la concurrence d'une version générique.A la Bourse de Londres, le titre GSK perdait cependant 1% dans l'après-midi, l'une des fortes baisses de l'indice FTSE 100."GSK a de nouveau eu du mal à convertir ses bénéfices en liquidités", a commenté Nicholas Hyett, analyste chez Hargreaves Lansdown. "Les investisseurs devraient probablement accorder à GSK le bénéfice du doute, du moins pour le moment", a-t-il cependant ajouté.L'endettement net de GSK, qui a réaffirmé ses prévisions annuelles d'une baisse de 5% à 9% du bénéfice ajusté, a atteint 27,1 milliards de sterling à fin mars, contre 21,6 milliards fin 2018, le groupe ayant finalisé le rachat du spécialiste de l'oncologie Tesaro.Les ventes de Shingrix, ont atteint 357 millions de livres au cours du trimestre, en hausse de 61,5% par rapport au quatrième trimestre 2018, largement soutenues par les ventes aux Etats-Unis, au Canada et en Allemagne.Les analystes prévoyaient un chiffre d'affaires trimestriel de 249 millions pour le vaccin et des ventes de 1,17 milliard pour l'ensemble de l'année 2019.(Pushkala Aripaka, Noor Zainab Hussain et Ankur Banerjee à Bangalore, Dominique Rodriguez pour le service français)19
REUTERS, LE 20/06/19 À 10:16 MIS À JOUR LE 20/06/19 À 10:31 GLAXOSMITHKLINE - GSK fait des concessions à lUE pour son projet avec PfizerBRUXELLES, 20 juin (Reuters) - GlaxoSmithKline a proposé une série de concessions à l'Union européenne en vue d'apaiser ses inquiétudes en terme de concurrence dans le cadre du projet de coentreprise, annoncé en décembre, du laboratoire britannique avec son concurrent américain Pfizer dans la santé grand public.Selon un avis disponible sur le site de la Commission européenne, cette dernière se prononcera d'ici le 10 juillet sur le projet.En cas de feu vert, GlaxoSmithKline avait dit envisager de se scinder en deux activités - l'une pour les médicaments sur ordonnance et les vaccins, l'autre pour les produits en vente libre.Le rapprochement des activités de GSK et de Pfizer dans le domaine de la santé grand public créera un nouveau géant du secteur avec une part de marché de 7,3%, loin devant ses concurrents les plus proches, Johnson & Johnson, Bayer et Sanofi, tous autour de 4%.20
Sévère
restructuration chez GSK Vaccines: voici le plan de l’entreprise
pour l’avenir - Le Soir – Mis en ligne le 5/02/2020 à 14:29
Le
groupe pharmaceutique a annoncé un plan de restructuration. Ce sont
essentiellement des cadres qui devraient être touchés. Plus de 200
contrats temporaires ne devraient par ailleurs pas être renouvelés.
La
mauvaise nouvelle est donc tombée : le groupe pharmaceutique GSK a
annoncé un plan de restructuration qui pourrait entraîner la
suppression de 720 emplois sur les 9.000 postes dans notre pays
(prinicpalement sur les sites de
Rixensart et Wavre). Ce plan a été présenté ce midi en
conseil d’entreprise extraordinaire aux représentants des
travailleurs.
Selon
GSK, « plusieurs départements de
l’organisation Vaccines en Belgique seraient concernés par ce
projet de transformation, y compris les opérations de la R&D, de
la fabrication et du service qualité, ainsi que les fonctions
globales de support. Ce projet pourrait concerner un maximum
de 720 employés chez GSK Vaccines en Belgique, dont majoritairement
des cadres. En outre, 215 contrats temporaires ne devraient pas être
renouvelés ». Selon les syndicats, il y aurait 280 postes perdus au
niveau de la production, 130 dans la recherche et développement, 90
dans le département Qualité et 200 dans les départements supports.
Cette
annonce s’inscrit dans le cadre d’un plan mondial visant à
séparer GSK en deux entités, une concentrée sur la biopharmacie
(médicaments et vaccins) et l’autre sur la santé grand public
(médicaments sans ordonnances et produits de soins). Un programme de
deux ans a été mis sur pied pour aboutir à cette séparation, qui
« permettra à l’entreprise de gagner en efficacité », indique
GSK dans un communiqué, rappelant que « la Belgique joue un rôle
stratégique au sein du réseau mondial de la division vaccins de GSK
». Le groupe britannique annonce que GSK Vaccines « augmentera ses
investissements en R&D pour accélérer le développement et la
mise sur le marché de nouveaux vaccins. En outre, afin de répondre
de façon optimale à la demande mondiale, la société prévoit de
renforcer l’automatisation de ses unités de production pour
augmenter la capacité et d’effectuer des investissements
technologiques, avec l’intention d’investir plus de 500 millions
euros au cours des trois prochaines années en Belgique ».
«
Je comprends l’émotion que cette annonce peut susciter parmi nos
collaborateurs qui font chaque jour d’énormes efforts pour assurer
la disponibilité de nos vaccins auprès de ceux qui en ont besoin »,
a indiqué Patrick Florent, administrateur-délégué de GSK Vaccines
en Belgique, cité dans le communiqué. « Il est important que nous
entamions dès aujourd’hui des discussions avec nos partenaires
sociaux par le biais du Conseil d’Entreprise afin d’examiner plus
en détail l’impact potentiel de ce projet de transformation sur
nos employés.
GSK
prend ses responsabilités envers ses employés très au sérieux et
veillera à ce que les changements proposés soient abordés de
manière responsable, conformément aux valeurs de l’entreprise.
Finalement, je souhaite reconfirmer l’engagement stratégique de
GSK en Belgique, qui restera au coeur des opérations de vaccins ».21
Le
Parti communiste de Belgique fait l'appel pour une lutte contre les
effets liées au restructuration qui augmentent l'exploitation les
forces de travails, et pour une lutte pour des objectifs qui
expriment les intérêts des travailleurs
–
Dans
un monde impérialiste/capitaliste de surcapacité, de concurrence
féroce et d'exploitation croissante et ceci dans TOUS les secteurs,
il n'y a qu'une seule alternative: l'expropriation de tous les
capitalistes, la rupture des rapports de production capitalistes et
le développement vers le communisme. Étant donné que les
"moyens de production expropriés" (et tout ce qui touche à
la production) sont toujours parfaitement adaptés à la production
de marchandises en fonction de leur valeur d'échange, il y aura une
"transition" qui alignera de plus en plus les produits et
leur système de production sur la production en fonction. des
besoins réels enregistrés, qui seront ensuite mis à la disposition
de tous ceux qui, en fin de compte, "les auront déja payés"
grâce à leur éventuelle contribution à la société. Pendant
cette "transition", également appelée la première étape
du communisme ou "économie socialiste planifiée", il y
aura la "dictature du prolétariat" jusqu'à ce que les
classes cessent d'exister.
-
Le parti communiste de Belgique soutient la lutte pour la
nationalisation du secteur pharmaceutique, en soulignant les
conditions qui doivent être imposées par la lutte, afin qu'une
telle nationalisation puisse être un objectif de lutte dans
l'intérêt des travailleurs.
La
nationalisation implique en fait l'expropriation, PRENNANT ainsi la
"propriété" de tout le capital (tous les moyens de
production et tout ce qui est lié à la production) dans ce secteur
pharmaceutique. La gestion du secteur doit être placée sous le
contrôle de travailleurs organisés dans la lutte, afin de pouvoir
imposer une production adaptée aux besoins de traitement des
maladies. La recherche sur le traitement des maladies n'a plus besoin
d'être coordonnée pour arriver à un produit intéressant pour la
compétitivité des entreprises, qui par sa vente capte une certaine
part du marché et réalise le profit.
Le
parti communiste de Belgique, cependant, déclare qu'une
nationalisation sous le capitalisme et au sein d'un État bourgeois
est toujours incomplète, sera temporairement et constamment limitée
par le capitalisme et l'État bourgeois. C'est la rapport des forces
et la combativité, du militantisme et la mobilisation de
l'organisation de class des travailleurs qui détermineront dans
quelle mesure cette nationalisation répond aux intérêts des
travailleurs et dans quelle mesure les capitalistes, avec l'aide de
l'Etat bourgeois, pourront affirmer encore toujours leurs intérêts.
Une
telle lutte pour la nationalisation montre clairement aux
travailleurs qu'il est en fin de compte dans l'intérêt objectif des
travailleurs de lutter contre le capitalisme, de briser l'État
bourgeois, d'établir le pouvoir des travailleurs afin d'établir le
socialisme.
–
Bien
qu'une lutte pour le maintien de tous les emplois SANS tenir compte
"d'un besoin de augmenter la compétitivité" ou de
certaines "directives européennes sur la régulation de la
formation des monopoles", soit pleinement justifiée, il ne
s'agit pas d'une lutte de seuls les travailleurs de GSK. Des
restructurations similaires existent dans TOUS les secteurs et dans
TOUTES les entreprises (qui sont parfois concurrentes entre eux), en
raison de la concurrence féroce dans un monde régi par la
surcapacité.
Mais
il s'agit aussi de la lutte pour tout ce qui concerne "ces
emplois" pour la préservation desquels on se bat.
C'est
le même objectif d'augmentation de la compétitivité qui est à
l'origine de cette restructuration chez GSK ainsi que d'une
restructuration similaire dans d'autres entreprises, qui est à la
base de TOUTES les économies, les assainissements et la démolition
de la sécurité sociale depuis 1974.
La
lutte pour la récupération de tous les économies, les diminuations
des charges patronales, la diminuation de la contribution de l'état
et les attaques correspondant de la sécurité sociale depuis 1974,
fait donc partie de la lutte pour l'emploi. Et c'est la lutte de TOUS
les travailleurs.
Argumentation
élaboré est fait en 14-12-2019 Agitprop COMMUNISTE visant àmobiliser les travailleurs pour un changement révolutionnaire, ouagitprop RÉFORMISTE, visant à récupérer la lutte de classe et àgagner plus de voix lors des élections suivantes
Les
travailleurs de 1932 et 1936 n'ont pas non plus coordonné leurs
objectifs de lutte avec ce que le patronat, les dirigeants syndicaux
réformistes et l'État considéraient POSSIBLE, mais avec ce que les
travailleurs considéraient comme NÉCESSAIRE. Lizes en 23-01-2020 Lutte contre cette DICTATE du capitalisme: "ACCEPTEZ l'augmentation du taux d'exploitation, pour améliorer la compétitivité de vos "propres"capitalistes!" Rejetez le réformisme qui lie les travailleurs à cette dictate!
1https://www.ptb.be/gsk_sur_10_ans_la_multinationale_a_b_n_fici_de_4_2_milliards_d_euros_de_d_duction_d_imp_ts, GSK : SUR 10 ANS, LA MULTINATIONALE A BÉNÉFICIÉ DE 4,2 MILLIARDS D’EUROS DE DÉDUCTION D’IMPÔTS – Rédaction en ligne - 7 février 2020
2 https://www.ptb.be/voici_les_chiffres_qui_montrent_qu_on_peut_augmenter_les_pensions, Le mythe de « l’impayable coût du vieillissement » prend l’eau : voici les chiffres qui montrent qu’on peut augmenter les pensions – Kim De Witte - 18 juillet 2019
2 https://www.ptb.be/voici_les_chiffres_qui_montrent_qu_on_peut_augmenter_les_pensions, Le mythe de « l’impayable coût du vieillissement » prend l’eau : voici les chiffres qui montrent qu’on peut augmenter les pensions – Kim De Witte - 18 juillet 2019
3Travail
parlementaire - Résultat de la recherche, “Transfert de
technologie pharmaceutique vers l'étranger.”; Session : 2007-2008
– Année : 2007, N° : 3 (2007-2008). Question écrite du
15/11/2007 de PETITJEAN Charles à SIMONET Marie-Dominique, Ministre
de la Recherche, des Technologies nouvelles et des Relations
extérieures
4
Etudes marxistes 59/2002, “De la crise économique à la guerre
mondiale” – Thomas Gounet
5
5-2-2020 –
https://pharmanalyses.fr/relance-des-mega-fusions-dans-la-pharma/
Relance
des méga fusions dans la pharma – PharmAnalyses A propos de
PharmAnalyses – Guide marketing communication santé 2019 –
janvier 03 2019 – par Jean Jacques Cristofari
6
https://investir.lesechos.fr/actions/actualites/bayer-lance-un-plan-de-restructuration-supprime-4-500-emplois-298077.php
5-2-2020
Bayer lance un plan de restructuration,supprime 4.500 emplois,
Actualité des sociétés - Investir-Les Echos Bourse
DOW
JONES | LE 18/11/10 À 21:17
7https://www.rtl.be/info/monde/economie/fermeture-en-vue-pour-le-site-d-heppignies-de-gsk-beecham-38359.aspx,
Fermeture en vue pour le site d'Heppignies de GSK Beecham – Publié
le 04 mars 2008 à 16h29 |
8https://www.zonebourse.com/GLAXOSMITHKLINE-PLC-ADR-12835/actualite/GLAXOSMITHKLINE-AD-La-faiblesse-de-la-livre-soutie...
GLAXOSMITHKLINE
AD : La faiblesse de la livre soutient le bénéfice de
GlaxoSmithKline
9
https://www.usinenouvelle.com/article/gsk-promet-de-la-croissance-en-2013-apres-le-rate-de-2012.N191098
GSK promet de la croissance en 2013 après le raté de 2012 PUBLIÉ
LE 06/02/2013 À 15H24
10
5-2-2020 –
https://www.lefigaro.fr/flash-eco/2014/03/28/97002-20140328FILWWW00279-plan-social-chez-le-laboratoire-gsk.php
Plan social chez le laboratoire GSK – Par Lefigaro.fr avec AFP
Publié le 28 mars 2014 à 17:34, mis à jour le 28 mars 2014 à
17:35
11
5-2-2020 –
http://finance-eco.over-blog.com/2014/04/restructuration-dans-le-secteur-pharma-novartis-et-gsk-en-vedette.html
Restructuration
dans le secteur pharma: Novartis et GSK en vedette - FINANCE-ECO by
Olivier Clarenc
12
DÉPÊCHE - Lundi 01
décembre 2014 – 10:13 Contactez-nous GlaxoSmithKline sur le point
de supprimer des centaines d'emplois aux USA
Mots-clés
: #GSK #ressources humaines #restructuration #USA
#prévisions-stratégie INDUSTRIES DE SANTE
13
5-2-2020 –
https://www.rts.ch/info/economie/6859319-le-syndicat-unia-s-attend-a-une-restructuration-chez-gsk-a-prangins.html
Le
syndicat Unia s'attend à une restructuration chez GSK à Prangins -
rts.ch - Economie – Modifié le 11 juin 2015 à 17:47
14
https://www.genengnews.com/news/gsk-eliminates-650-u-s-jobs-in-restructuring/
GSK Eliminates 650 U.S. Jobs in Restructuring – September 6, 20180
Source: ZargonDesign/iStock
15
5-2-2020 –
https://afrique.latribune.fr/entreprises/industrie/chimie-pharma/2018-01-17/pharmaceutique-l-afrique-epicentre-de-la-douloureu...
Pharmaceutique : l’Afrique, épicentre de la douloureuse
restructuration de GSK
16
2019 GlaxoSmithKline: Hampton’s departure gives a sense of
unfinished business – CGLytics Home | Blog | GlaxoSmithKline:
Hampton’s Departure Gives A Sense Of Unfinished Business
17 https://investir.lesechos.fr/actions/actualites/pharma-les-ventes-du-shingrix-gonflent-le-benefice-de-gsk-au-t4-1825317.phpLes ventes du Shingrix gonflent le bénéfice de GSK au T4
18
https://investir.lesechos.fr/actions/actualites/pharma-gsk-depasse-les-previsions-avec-son-vaccin-contre-le-zona-1845273.php
GSK
dépasse les prévisions avec son vaccin contre le zona
19
https://investir.lesechos.fr/actions/actualites/gsk-porte-par-ses-vaccins-au-t1-mais-la-chute-du-cash-flow-pese-en-bourse-1845292.php
GSK
porté par ses vaccins au T1 mais la chute du cash-flow pèse en
Bourse
20
https://investir.lesechos.fr/actions/actualites/gsk-fait-des-concessions-a-l-ue-pour-son-projet-avec-pfizer-1856925.php
GSK
fait des concessions à l'UE pour son projet avec Pfizer
21
5-2-2020 –
https://www.lesoir.be/277806/article/2020-02-05/severe-restructuration-chez-gsk-vaccines-voici-le-plan-de-lentreprise-pour
Sévère
restructuration chez GSK Vaccines: voici le plan de l’entreprise
pour l’avenir - Le Soir – Mis en ligne le 5/02/2020 à 14:29