Ludo
Martens (former president of the WPB/PVDA/PTB, he died after a long
illness which atacked his mental capacities) was recognised in the
international communist movement as a revolutionary marxist analist,
His books and articles are well-studied in those circles:
Books authored by Ludo Martens
- Pierre Mulele, ou, La seconde vie de Patrice Lumumba (Antwerp: Éditions EPO, 1985). OCLC 23219832- Sankara, Compaoré, et la révolution burkinabé (EPO, 1989). ISBN 2-87262-033-8.
- Abo: une femme du Congo (EPO, 1992). ISBN 2-87262-103-2.
- L'U.R.S.S. et la contre-révolution de velours (EPO, 1991). ISBN 2-87262-057-5.
- Un autre regard sur Staline (EPO, 1994). ISBN 2-87262-081-8.
- Kabila et la révolution congolaise: panafricanisme ou néocolonialisme? (EPO, 2002). ISBN 2-87262-191-1.
Selected Articles by Ludo Martens
(it
is possible that the WPB – in an attempt to delete her history –
has broken links to the texts here above)
I
– as former militant in the WPB, expelled in 2005, so I think I am
well-informed...- will here
analyse how it is possible that in spite
of the awareness on development of revisionism in the International
Communist Movement (and in his “own” organisation, the WPB,to
which Ludo Martens was devoted, and in spite of his efforts to fight
against the germs of revisionism in his “own” organisation (the
WPB), he was not able to prevent that the WPB made a turn to
reformism which was affirmed by a majority of the 8th
Congress of the WPB in 2008.
In
1991 the WPB hold her 4th
Congress. Discussed, amended and finally voted are the texts which
finally were edited in the book “The URSS and the velvet
contra-revolution”. So the concluding text in the final chapter had
the authority of a guideline to follow by each militant and cadre.
The book is to read online (in Dutch and French) on the website
marx.be which is the website of the WPB which is promoted by its
militants as a source of formation in Marxism.
In
the light of the analysis of how it was possible to develop
revisionism in the WPB it is important to notice that it were the
political positions of Mao Zedong about socialism and about the
struggle against revisionism made in 1964-65
which were supported by a majority of the Fourth Congress of the
WPB.
On her own site of formation in Marxism (Marxist
Studies on
marx.be) members of the WPB could be formed (and informed) on
the on the fourth congress by majority voted prositions (therefore I
quote them literally – in French, and significant parts in italic-fat):
«L'analyse qui cerne le mieux les réalités des pays socialistes, reste celle avancée au cours des années soixante par Mao Zedong. (...)
Voici comment Mao Zedong voyait l'avenir du socialisme.
"La société socialiste couvre une longue, très longue période historique. Durant toute sa durée, la lutte de classe entre bourgeoisie et prolétariat se poursuit, la question de savoir qui l'emportera, de la voie capitaliste ou de la voie socialiste, subsiste, c'est-à-dire que le danger de la restauration capitaliste demeure." "La révolution socialiste dans le seul domaine économique (en ce qui concerne la propriété des moyens de production) ne suffit pas, et, d'ailleurs, n'assure pas la stabilité. Il doit y avoir aussi la révolution socialiste complète dans les domaines politique et idéologique. La lutte pour savoir qui l'emportera dans les domaines politique et idéologique, le socialisme ou le capitalisme, demande une très longue période avant qu'il ne soit décidé de son issue. Quelques dizaines d'années n'y suffiront pas; cent ans, voire des centaines d'années, sont nécessaires à la victoire définitive. (...) Dans cette période historique du socialisme, nous devons maintenir la dictature du prolétariat, mener la révolution socialiste jusqu'au bout, si nous voulons empêcher la restauration capitaliste et nous devons entreprendre l'édification socialiste, afin de créer les conditions pour le passage au communisme." "Avant l'arrivée au pouvoir de Khrouchtchev, les activités des nouveaux éléments bourgeois étaient limitées et sanctionnées. Mais, depuis que Khrouchtchev a pris le pouvoir et a usurpé graduellement la direction du Parti et de l'Etat, ces nouveaux éléments bourgeois sont parvenus à des positions dominantes au sein du Parti et du gouvernement et dans les domaines économiques, culturels et autres. Ils sont devenus une couche privilégiée de la société soviétique." "Même sous la domination de la clique de Khrouchtchev, la masse des membres du PCUS et le peuple poursuivent les glorieuses traditions révolutionnaires cultivées par Lénine et Staline, s'en tiennent au socialisme et aspirent au communisme. (...) Parmi les cadres soviétiques, nombreux sont ceux qui s'en tiennent toujours aux positions révolutionnaires du prolétariat et à la voie socialiste, qui sont fermement contre le révisionnisme de Khrouchtchev." "La lutte des classes, la lutte pour la production et l'expérience scientifique sont les trois grands mouvements révolutionnaires de l'édification d'un pays socialiste puissant. Ces mouvements constituent une sûre garantie permettant aux communistes de se débarrasser du bureaucratisme, de se prémunir contre le révisionnisme et le dogmatisme et de demeurer toujours invincibles, une sûre garantie permettant au prolétariat de s'unir avec les larges masses travailleuses et de pratiquer une dictature démocratique. Si, en l'absence de ces mouvements, on laissait se déchaîner les propriétaires fonciers, les paysans riches, les contre-révolutionnaires, les éléments malfaisants et les monstres de tous genres, tandis que nos cadres fermeraient les yeux et n'opéreraient pas de distinction entre l'ennemi et nous dans nombre de cas, mais collaboreraient avec l'ennemi et se laisseraient gagner par la corruption et la démoralisation, si nos cadres étaient ainsi entraînés dans le camp ennemi ou si l'ennemi parvenait à s'infiltrer dans nos rangs, et si beaucoup de nos ouvriers, paysans et intellectuels étaient laissés sans défense face aux tactiques tant enveloppantes que brutales de l'ennemi, alors peu de temps se passerait, peut-être quelques années ou une décennie, et tout au plus quelques décennies, avant qu'une restauration contre-révolutionnaire n'ait inévitablement lieu à l'échelle nationale, que le parti marxiste-léniniste ne devienne un parti révisionniste ou un parti fasciste et que toute la Chine ne change de couleur."1 2
And
the fourth congress of the WPB saw that this happened in the Soviet
Union...
(...) Par des attaques idéologiques et politiques contre des principes essentiels de la construction socialiste, Khrouchtchev a d'abord changé l'orientation fondamentale du PCUS. Ceci constituait un préalable pour permettre aux cadres bureaucratisés et opportunistes d'acquérir des privilèges et de se constituer en couche sociale distincte. Même après l'élimination de Khrouchtchev, certains cadres dirigeants ont poursuivi les efforts pour en revenir aux principes marxistes-léninistes. Les bases socialistes de la société n'étaient pas encore détruites et des millions de communistes persévéraient dans leur travail révolutionnaire. Lors de la période Brejnev, la couche dirigeante a accumulé des privilèges croissants et elle s'est enrichie par une panoplie de moyens illégaux. Mais elle devait toujours parasiter, en quelque sorte, une base économique et politique qui ne lui appartenait pas. Les communistes authentiques pouvaient toujours défendre un certain nombre d'acquis de la classe ouvrière. Les lois socialistes, les mesures favorables aux travailleurs et l'idéologie marxiste-léniniste continuaient à exercer une grande influence dans la société. La couche dirigeante réduisait le marxisme à un chapelet de formules figées et importait toute sorte de courants idéologiques de l'Occident. Dénaturant la pensée socialiste, elle rendait une deuxième jeunesse à des idéologies bourgeoises surannées. Dans un nombre croissant de secteurs, les nouveaux éléments bourgeois transformaient les moyens de productions et les biens de l'Etat en leur propriété privée. Ils concluaient des mariages d'affaire avec les capitalistes nouveaux du secteur informel, dont ils toléraient l'extension. A la fin de la période Brejnev, une nouvelle classe capitaliste s'était soudée qui poursuivait des intérêts propres, antagoniques à ceux des travailleurs. Cette classe, devenue adulte, s'apprêtait à lutter pour l'instauration de sa dictature ouverte. Il lui fallait débarrasser le pays des dernières influences, des dernières apparences marxistes-léninistes. Elle trouva en Gorbatchev un drapeau, dans la glasnost un moyen d'expression, dans la perestroika une légitimation de ses projets de privatisation.
L'Union soviétique a connu deux grands points de rupture avec le socialisme: le rapport de Khrouchtchev de 1956 qui marqua la répudiation de certains principes essentiels du léninisme, et la perestroika de Gorbatchev qui ouvrit, en 1990, le passage à l'économie du marché.
Le révisionnisme de Khrouchtchev a ouvert une période de transition du socialisme au capitalisme. Au cours de cette période, des éléments socialistes continuaient à lutter avec les éléments capitalistes. Ce serait réduire la réalité d'une façon scolastique, que de poser le problème uniquement en termes: dictature du prolétariat ou dictature de la grande bourgeoisie. Les nouveaux et anciens éléments bourgeois ont eu besoin de trente ans pour passer de la prime enfance à l'âge adulte, pour affirmer et consolider leurs positions dans le domaine politique, idéologique et économique. Le processus de dégénérescence, entamé en 1956, a demandé trois décennies pour en finir avec le socialisme.
Nous avons cru, à l'époque, que Khrouchtchev avait établi un mode de production spécifique, celui du capitalisme d'Etat, forme supérieure de capitalisme où la "nomenklatura" possède collectivement les moyens de production. Cette thèse n'est pas tenable. L'expérience prouve qu'il ne s'agissait pas d'un système d'exploitation ayant sa propre base économique. Revenue de la dictature du prolétariat, se départant laborieusement d'une économie socialiste planifiée, la société soviétique n'a pas pu trouver, sous l'enseigne du révisionnisme, des mécanismes adéquats et stables d'exploitation de la force du travail et d'utilisation des ressources matérielles, qui lui auraient permis d'affronter les puissances impérialistes. Au cours des périodes Khrouchtchev et Brejnev, les nouveaux éléments bourgeois ont forgé leurs armes, mais dès qu'ils en ont eu la force, ils se sont lancés dans le combat pour la propriété privée des moyens de production.
Certains maintiennent que Brejnev présidait un pays sous régime capitaliste d'Etat et qu'à la fin de son règne, une bourgeoisie libérale avait accumulé assez de forces pour affronter la bourgeoisie bureaucratique. Mais on remarquera que les attaques les plus féroces des légions de la glasnost, n'ont pas eu pour cible principale le système Brejnev, mais bien Staline et les bases du socialisme abhorré qu'il a défendues. Et, comme en Europe de l'Est, nous voyons des Brejnev-boys se défaire allègrement des structures hybrides mises en place par leur patron, pour embrasser le marché libre et l'entreprise privée.
Dans la conception du capitalisme d'Etat, le parti révisionniste constituait le creuset de la nouvelle bourgeoisie: parti brejnévien, nomenklatura et nouvelle bourgeoisie étaient synonymes. Or, avec l'achèvement du processus de dégénérescence, nous voyons que la nouvelle bourgeoisie en URSS comme à l'Est, se débarrasse du parti communiste en le transformant de fond en comble et en lançant le multipartisme bourgeois.
Gorbatchev, est-il le sosie de Khrouchtchev? Le point d'aboutissement de la dégénérescence n'est pas son point de départ. Khrouchtchev dut rassembler le noyau de base de la nouvelle bourgeoisie, Gorbatchev donne expression à une classe bien assise. En 1956, pour former son premier carré de bourgeois, Khrouchtchev dut produire une démagogie ultra-gauche, promettant le communisme pour 1980. Gorbatchev proclame ouvertement l'échec des illusions communistes. Khrouchtchev promit de rattraper et de dépasser les Etats-Unis au cours des années soixante-dix. Gorbatchev reconnaît la supériorité du système américain et va quémander son aide. Khrouchtchev renforça la collectivisation et transforma les kolkhoses en sovkhoses. Gorbatchev veut la privatisation de la terre. Khrouchtchev fit des prophéties sur la victoire mondiale de son socialisme. Gorbatchev demande la réintégration de l'URSS dans l'économie capitaliste mondiale.3
So
the WPB concluded that on a certain moment, REVISIONISM reigned in
the leadership of certain Communist Parties..... certainly the
Communist Party of China......Although Cuba proved at least that a
party can change again.
Les exemples de Cuba et de la Chine contredisent aussi la théorie que le révisionnisme à la tête du parti scèle automatiquement la restauration du capitalisme et le rétablissement de la dictature de la bourgeoisie.
Les communistes cubains ont fait un long chemin avec Brejnev dans sa marche vers le révisionnisme et l'hégémonisme. Pourtant, le Parti communiste cubain a montré sa capacité à rectifier ses erreurs. Le parti s'efforce de rétablir une conception et une pratique révolutionnaire du marxisme-léninisme.
Lorsque Hu Yaobang et, plus tard, Zhao Zhiyang furent secrétaire général du Parti communiste chinois, ils ont amplifié presque toutes les aberrations que Khrouchtchev a produites. Il faudrait conclure, en toute logique, à la restauration du capitalisme en Chine, comme le font d'ailleurs certains. Or, nous avons vu se déchaîner des luttes violentes au sein du PCC et la fraction la plus droitière a reçu de sérieux coups en juin 1989. Mais les affrontements politiques continuent, et si l'hypothèse de l'émergence d'un Gorbatchev chinois n'est pas à exclure, il n'est pas non plus impossible que Mao Zedong se réveille à une seconde existence.4
So
when a party-representing cadre published an analysis, of give a
speech on a meeting the political line has to be in line with the
political line decided on congresses.
And
this is the case with the text of Ludo Martens “On
certain aspects of the struggle against revisionism - For the unity
of all communists, in defence of proletarian internationalism”5
which you can read on the website marx.org (and also in French and
Dutch on marx.be). It is a further development, a further elaboration
of the by the Fourth Congress accepted political positions.
In
the period before the Fourth Congress - and certainly it provoked the
necessity of the Fourth Congress - there happened to be “struggles
and debates in the WPB (1989-1991)”, in the light what happened in
Eastern Europe and China. About this Ludo wrote a book, which got (I
will explain later) the authority of a Party-document, to be studied
and assimilated: “From Tien An Men to Timisoara – struggles and
debattes in the WPB (1989-1991) (only translated in Ducht from
French, “De Tien An Men à Timisoara, Ludo Martens and
PVDA(WPB)-editions, 1994, Avenue Lemonnier, 171,1000 Brussels, ISBN
90 6445 898 7)
The
book is very optimist about the regained unity in the party about
political line, organisation-principles, ideological line and a
certain obtained general consciousness in the party among the members
about applying Marxism, the awareness for occurring opportunism and
revisionism.
But
I will now prove that from the beginning of AMADA, and later in the
WPB, entered militants, of which some where national cadres, from the
beginning, who perhaps entered the organisation which had the
ambition to build once a real communist party (which should become
the WPB) on certain radical petty-bourgeois conviction (which is not
a shame as nobody is born as a communist) but who obtained not a
proletarian class-position but a BOURGEOIS (nationalist)
class-position. While there were certainly attempts (sometimes with
success for some time) of the bourgeois secret services to infiltrate
the young communist organisation, it is clear that OBJECTIVELY there
is no difference between a conscious bourgeois element who
infiltrated the communist party in order to dismantle, to destroy, to
spread pessimism,....and the party-cadre who is placing himself on a
bourgeois class-position at a certain moment. Because each bourgeois
element is against communism, against revolution and is always trying
to avoid this, in order to protect the continuing of capitalism and
the capitalist society. For me – and I will argue this –
Boudewijn Deckers is an example (so not the only one probably) of a
bourgeois element IN a communist party. I will show how a bourgeois
element is able to fullfill his ordered task(or by own ambition):
directing the political line and the organisation-principles in the
direction of that of a (bourgeois) REFORMIST party.
On
a certain moment (or he entered AMADA already on those positions –
or he came shortly after entering AMADA on those positions) Boudewijn
Deckers chose for a bourgeois nationalist class-position. This
bourgeois nationalist class-position, seemed to have some “radical
aspects” during the Second World War, developing a resistance
against nazi-occupation. Although the leadership of the armed
resistance was in hands of the communists of the Belgian Communist
Party, the political line went no further than resistance against
nazi-occupation, elimination of collaborators combined with a
solidarity with the anti-fascist struggle waged by the Soviet- Union.
So there was no great difference between political line of the
bourgeois nationalist antifascists and the communist antifascist. But
on one point: the PRINCIPLE and IDEOLOGICAL anti-communism and anti
socialist revolution of the bourgeoisie. But this was not reale
concretely and consciously countered by the Belgian communists. This
explained that in an environment where the knowledge of correct
applying of Marxism still has to be developed by all members AND
because the responsibility of formation in Marxism lied in fact in
the hands of Boudewijn Deckers (from the beginning!) this bourgeois
nationalist antifascism could not be unmasked as principle
ANTI-communism, and was in fact considered as real communist
ideological attitude. About this bourgeois nationalist antifascist
ANTI-communist ideology IN the young COMMUNIST organisation Ludo
Martens explained also in “On
certain aspects of the struggle against revisionism - For the unity
of all communists, in defence of proletarian internationalism”6.
See
next article.
11.
1.
. 'Le Pseudo-communisme de Khrouchtchev - 14 juillet 1964', dans:
Débat sur la ligne générale, 1.
. 'Le Pseudo-communisme de Khrouchtchev - 14 juillet 1964', dans:
Débat sur la ligne générale, éd. Pékin,
1965, p. 482-492
2http://www.marx.be/fr/content/lurss-et-la-contre-r%C3%A9volution-de-velours?doc=Velours-fin.htm#Pourconclure,
“L'URSS et la contre-révolution de velours”, Ludo
Martens, “ Pour conclure - Mars 1991, Deux points de
rupture”
3http://www.marx.be/fr/content/lurss-et-la-contre-r%C3%A9volution-de-velours?doc=Velours-fin.htm#Pourconclure,
“L'URSS et la contre-révolution de velours”, Ludo
Martens, “ Pour conclure - Mars 1991, Deux points de
rupture”
4«Pour
conclure - Mars 1991 - Deux points de rupture»,
http://www.marx.be/fr/content/lurss-et-la-contre-r%C3%A9volution-de-velours?doc=Velours-fin.htm#Pourconclure,
«L'URSS et la contre-révolution de velours». Ludo
Martens
5https://www.marxists.org/history/erol/belgium-1st/aspects.htm,
Encyclopedia of Anti-Revisionism On-Line. Ludo Martens, “On
certain aspects of the struggle against revisionism - For the unity
of all communists, in defence of proletarian internationalism.First
Delivered: To a seminar in India, March 1995.Transcription, Editing
and Markup: Sam Richards and Paul Saba.Copyright: This work is in
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freely copy, distribute and display this work; as well as make
derivative and commercial works. Please credit the Encyclopedia of
Anti-Revisionism On-Line as your source, include the url to this
work, and note any of the transcribers, editors & proofreaders
above.
6https://www.marxists.org/history/erol/belgium-1st/aspects.htm,
Encyclopedia of Anti-Revisionism On-Line. Ludo Martens, “On
certain aspects of the struggle against revisionism - For the unity
of all communists, in defence of proletarian internationalism.First
Delivered: To a seminar in India, March 1995.Transcription, Editing
and Markup: Sam Richards and Paul Saba.Copyright: This work is in
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